Toutes les études d'inventaire

Opération conduite par le Parc national de forêts,
en partenariat avec la Région Bourgogne-Franche-Comté et la Région Grand Est.

Les édifices religieux du 20e siècle constituent un patrimoine dont la diversité des formes s’explique par les nombreux évènements et évolutions qui agitent ce siècle tant sur le plan politique, géopolitique, religieux que technique ou artistique.

Comprenant 226 communes, le Pays Auxois-Morvan porte le label Pays d’art et d’histoire depuis 2006. Ce vaste territoire à forte dominante agricole est aussi marqué par la présence d’un patrimoine industriel riche et varié : métallurgie, textile, peausserie, agro-alimentaire et agroforesterie, industrie d’extraction, industrie génératrice d’énergie et produits chimiques.

La région a connu une militarisation importante au cours des siècles passés. Les fortifications font ainsi partie intégrante du paysage local et constituent un patrimoine à conserver et à valoriser.

Activité indispensable à toute société humaine, le divertissement a au fil du temps généré ses propres lieux, constituant un patrimoine aussi divers qu’abondant, conçu pour attirer les regards.

Des bords de la Loire jusqu’aux massifs du Jura et des Vosges, les stations thermales conservent un patrimoine varié, d'une grande qualité architecturale.

Les activités économiques et de loisirs engendrées par les cures façonnent l'urbanisme et l'architecture des villes, créant des quartiers qui regroupent villas de résidents, parcs, casinos, salles de spectacle et usines de mise en bouteille.

Longue de près de 500 kilomètres, la Saône forme un trait d’union historique entre les deux anciennes régions administratives de Bourgogne et de Franche-Comté et constitue depuis toujours un marqueur territorial fort. L’objectif de l’étude sur le patrimoine de la Saône navigable en Bourgogne-Franche-Comté est d’analyser les témoins de l’anthropisation de la rivière et de déterminer les conséquences architecturales et paysagères de sa canalisation.

Comme son nom l’indique, le val de Saône est constitué de vastes plaines propices à l’agriculture. Son paysage est également marqué par une activité métallurgique florissante du 15e au 19e siècle. L’étude est centrée sur le patrimoine des communes bordant la Saône de Corre à Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin.

Façonné par l'élevage bovin et préservé par des pratiques d'élevage séculaires, le paysage du Charolais-Brionnais est aujourd'hui candidat à l’inscription sur la liste du Patrimoine mondial. L'étude met en lumière une architecture et un environnement en symbiose avec l'activité agricole de ce territoire.

Étude de l'architecture et de l’urbanisme des grands ensembles en Bourgogne à travers une sélection de quartiers de différentes communes de la région (Auxerre, Beaune, Chalon-sur-Saône, Cosne-Cours-sur-Loire, Dijon, Mâcon, Nevers, notamment).

Formant le flanc oriental du département, le Pays horloger recouvre principalement le second plateau entre les vallées du Doubs et du Dessoubre, avec une zone plus mouvementée au sud-ouest et une partie du premier plateau au nord-ouest autour de Belleherbe.

Comme son nom l’indique, la vie économique de cette région s’articule autour d’une industrie phare : l’horlogerie.

Cette étude consacrée à la partie centrale du Doubs, complète l’inventaire du patrimoine industriel déjà réalisé sur la ville de Besançon et, à l’ouest du département, sur le Pays horloger et le Pays de Montbéliard.

La Côte de Beaune fait partie du territoire protégé à l'Unesco au titre des Climats du vignoble de Bourgogne depuis juillet 2015.
17 édifices (églises et chapelles) et leurs mobiliers ont été étudiés, en portant une attention particulière aux objets liés au culte des saints patrons des vignerons.

Édifié entre 1978 et 1980, l’hôtel de la Région Bourgogne est l’un des premiers hôtels de région construits en France. Sa grande qualité architecturale témoigne de l'importance accordée aux lieux qui les hébergent par les administrations régionales.

L'étude porte sur 85 sites de lycées comprenant les bâtiments, les objets liés à l'enseignement et les œuvres du 1% culturel. Elle révèle la diversité architecturale des édifices, contemporains ou historiques, ainsi que la diversité des enseignements, généraux ou spécialisés.

Axée sur les quatre voies navigables en Bourgogne (la Seille canalisée et les canaux de Bourgogne, du Centre et du Nivernais), l’étude porte sur les ouvrages présents sur le linéaire, sur le patrimoine de proximité et sur le paysage.

L’étude porte sur les 77 communes des cantons de Montbéliard, Audincourt, Étupes, Hérimoncourt, Valentigney, Sochaux-Grand-Charmont et Pont-de-Roide.

Des fouilles archéologiques ont révélé que le site de Gy était déjà occupé en 1 200 avant J.C. Le château fort date du 13e siècle et le village qui se développe autour, est également fortifié par la construction d’une enceinte reliée au château.

Attesté depuis l’Antiquité, le bourg s’est développé sur la rive nord de la Lanterne, à une altitude moyenne de 270 m. Il est longé par la Saône et de nombreux étangs ponctuent la vaste plaine alentour.

Etude du bâti de la commune de Marcigny située dans le département de Saône-et-Loire.

Rougemont est l'un des bourgs médiévaux les plus vastes du Doubs. L'agglomération castrale était située sur un éperon rocheux défendu par un château barrant le paysage. Le "bourg-dessous" s'est développé en contrebas, à l'intérieur de fortifications partiellement visibles encore aujourd'hui.

À l’issue de l’étude, quatre grands secteurs industriels ont nettement émergé : la métallurgie, le textile, le bois et l'agroalimentaire, qui concernent 257 des 295 usines étudiées. En 2009, un tiers des usines conservait une activité artisanale ou industrielle, la plupart du temps différente de l'activité d'origine.

Repérage du patrimoine architectural situé sur le territoire de la communauté d’agglomération dijonnaise.

Inventaire de l'architecture et des objets mobiliers liés au patrimoine hospitalier bourguignon (hôtels-Dieu, hôpitaux, hospices, maladreries, sanatoriums, etc).