ENSEMBLE DE TRANSFORMATION DES MÉTAUX ET DE GÉNÉRATION D'ÉNERGIE DIT DES FORGES DE SAINT-HIPPOLYTE
25 - Liebvillers
Le Gouffre du Lods
- Dossier IA25001983 réalisé en 2019 revu en 2020
- Auteur(s) : Laurent Poupard
Historique
L’ensemble des forges de Saint-Hippolyte associe dans la commune de Liebvillers deux sites de fabrication contigus établis sur le Doubs (au Moulin Artus et au Gouffre du Lods), une école primaire et une cité ouvrière (dite du Maroc) à divers logements d’ouvriers dans la commune de Saint-Hippolyte (cité du Congo, immeuble du Moulin Neuf et cité Vauchamp).
Les forges sont nées d’un moulin construit à l’extrême fin du 18e siècle ou au tout début du 19e. En effet, le 19 vendémiaire an 7 (10 octobre 1798), un arrêté du Directoire exécutif autorise Xavier Jobard à déplacer son moulin de quelques centaines de mètres, du lieu-dit Nadam au Moulin Artus. L'établissement est acheté et transformé en brasserie en 1818 par Auguste Blondeau en vertu d’une autorisation obtenue le 21 décembre 1815. Auguste Joseph Donat Blondeau - ou de Blondeau - (1791-1868) est fonctionnaire de l’Enregistrement à Saint-Hippolyte jusqu’en 1815, puis militaire dans la garde nationale et enfin maître de forges ; il sera aussi député du Doubs de 1831 à 1836. Entre 1813 et 1819 (en 1815 ?), il achète, avec son frère Alexandre Nazaire Joseph Stanislas (1789-1864), la fabrique d’outils d’horlogerie créée en 1788 à Montécheroux par Jean Nicolas Abram, l’un des introducteurs de cette industrie dans la localité, que l’Annuaire du Doubs pour 1820 évoque ainsi : "On y confectionne tous les outils en fer nécessaires aux horlogers et aux tourneurs sur métaux. Les ouvriers ne sont point réunis dans un même local. La population presque entière travaille, lorsque les travaux de l’agriculture leur en laisse le temps. Cette industrie commence même déjà à gagner les villages voisins." A cette date, la fabrique emploie 180 personnes et a produit 70 000 outils, dont les 9/10e sont exportés. Auguste Blondeau la cède à Pierre Poulignot vers 1834.
Associé aux frères Delavelle, de Fleurey (qui lui céderont leur part en 1846), il demande en 1835 à être autorisé à rétablir son barrage du Moulin Artus puis, l’année suivante, il sollicite l’autorisation de convertir l’établissement en forge et clouterie. Il modifie sa demande le 22 avril 1838, ne maintenant au Moulin Artus que les machines de quincaillerie et prévoyant la création d’une "usine à fer" au Gouffre du Lods, juste en amont. La première usine est autorisée le 25 août 1845, la deuxième le 25 juillet 1846 (en fait, elle est déjà bâtie et associe feu d’affinerie, martinet, laminoir, fourneau à la Wilkinson et tréfilerie). A son décès en 1868, son fils Stanislas lui succède.
La société des Forges de Saint-Hippolyte est réputée être la première société anonyme française officiellement enregistrée, le 22 avril 1870, suite à la loi de 1867 qui supprime l'obligation d'obtenir une autorisation gouvernementale préalable. En 1889, la Société anonyme des Forges et Visseries de Saint-Hippolyte devient une filiale des sociétés Viellard-Migeon et Cie (qui détient 45 % de son capital) de Morvillars (Territoire de Belfort), de Pruines et Cie (10 %) de Plombières (Vosges) et Japy Frères et Cie (45 %) de Beaucourt (Territoire de Belfort), cette dernière se retirant dès 1893. Les usines comportent une forge avec deux feux d’affinerie, un laminoir, deux tréfileries, une pointerie et une visserie. Leur desserte ferroviaire est assurée par un embranchement sur la ligne de Voujeaucourt à Saint-Hippolyte, ouverte en 1886 dans le cadre du plan Freycinet. De nouveaux logements d’ouvriers sont bâtis, dont Pierre Lamard donne la liste : maison à deux logements en 1893, deux logements en 1896, sept logements ("dans une ancienne scierie") en 1899, six logements ("dans une maison à 3 étages") en 1900, "caserne d’ouvriers à 12 logements à 3 étages" en 1901, "caserne à 12 logements" en 1905, logements en 1906, "2 casernes de 12 logements" en 1908, "nouvelle caserne" en 1909. La société crée aussi, comme dans ses autres sites, une école libre, dirigée par les soeurs de la Compassion.
Désireux de fournir en période de sécheresse un complément d’énergie à son établissement, le président du conseil d’administration, Léon Viellard (1837-1903, marié à Claire de Pruines), renouvelle le 29 décembre 1897 sa demande pour être autorisé à reconstruire le barrage du Moulin Artus, emporté depuis plus de trente ans. Il écrit : "l’irrégularité croissante du débit du Doubs met fréquemment en chômage partiel les forges que nous exploitons, et qui donnent à près de 250 ouvriers un travail rémunérateur." Les sécheresses de 1893 et 1897 ont encore accentué les difficultés. Dans le même souci d’assurer son développement et l’alimentation électrique de ses ateliers, la société achète en 1897 les deux usines situées en amont sur le Doubs : Vauchamp (site dit du pont de Saint-Hippolyte) et le Moulin Neuf. Détruite vers 1907 par un incendie, cette dernière est remplacée par une centrale hydroélectrique alimentant la forge.
Le 10 septembre 1912, l’administrateur délégué Jean Maître (1861-1926), gendre de Léon Viellard, présente une demande pour pouvoir surélever d’un mètre le barrage du Gouffre du Lods. Nouveau courrier le lendemain, avec une surélévation portée à deux mètres et s’accompagnant de la suppression du barrage du Moulin Neuf, immédiatement en amont. Il ne pousse pas plus avant sa demande, abandonnée en juin 1920 (pour "conserver pour ces deux chutes le bénéfice de la gratuité que nous accorde pendant 75 ans la loi d’octobre 1919"). À cette date, la société présidée par Maître a comme administrateur délégué son beau-frère Albert Viellard (1875-1955) ; tous deux sont gérants de Viellard-Migeon et Cie (VMC), le dernier étant aussi gérant de de Pruines et Cie.
La question de l’hydroélectricité revient à l’ordre du jour à l’issue de la guerre, qui a mis en évidence l’importance stratégique de la maîtrise des sources d’énergie pour le bon fonctionnement de l’industrie. La législation est donc adaptée, favorisant la multiplication des projets. En 1918, la société VMC valide le principe de réaliser une grande opération d’aménagement hydraulique du Doubs, en réorganisant entièrement l’exploitation des établissements en amont du Moulin Artus, afin d’établir à proximité de la gare de Saint-Hippolyte une aciérie électrique. Elle achève en avril 1919 d’acquérir les terrains riverains de ses usines et le directeur, René Colle, commande une première étude à l’ingénieur Émile Andrié, établi à Lyon (1 rue Dugas-Montbel). Déposée en préfecture le 19 septembre, celle-ci prévoit la modernisation du site de Vauchamp par relèvement de son barrage. Le 18 novembre, une deuxième demande est déposée pour un projet complété par la création d’un nouveau barrage à Grosbois, sur la commune de Soulce-Cernay.
La promulgation de la loi du 16 octobre 1919, réglementant l’utilisation de l’énergie hydraulique, permet d’envisager la réunion de toutes ces chutes en une seule (de 33 m, soit 10 000 ch) : l’eau serait amenée, par une galerie souterraine, du barrage de Grosbois à une centrale à construire juste en aval du Moulin Artus. Celle de Montjoie (3,75 m de chute, environ 700 ch ou 510 KW), exploitée par la Société électrique de Montjoie fondée en 1901 ou 1902 et dirigée par Alfred Mettetal (avec siège social à Pont-de-Roide), doit cependant être englobée dans le projet pour au moins deux raisons : la présence de la route et de la voie ferrée de Saint-Hippolyte à Montbéliard impose un certain niveau aux ouvrages hydrauliques ; le désir de constituer une réserve d’eau suffisante pour éviter, notamment, le chômage du lundi (lié au fonctionnement par éclusée de la centrale de Bellefontaine, en Suisse, qui remplit son bief le week-end), cette réserve noyant alors le barrage de Montjoie. La centrale sera donc acquise en 1924. Par ailleurs, si la galerie doit court-circuiter les établissements du Moulin Neuf, du Gouffre du Lods et du Moulin Artus, ils pourront continuer à fonctionner avec les eaux du Dessoubre, qui se jette dans le Doubs en amont du premier.
La nouvelle étude, commandée à Andrié à la fin juin 1920, sur l’aménagement hydraulique du Doubs entre le village de Vaufrey et le Moulin Artus conduit le 20 novembre suivant au dépôt d’une demande de concession d'eau. La centrale envisagée doit permettre la création de l’aciérie souhaitée par Viellard-Migeon et Cie et de Pruines et Cie qui, "cherchant à s’assurer les aciers de qualité nécessaires à leurs fabrications, voudraient créer dans leur filiale de St-Hippolyte une aciérie électrique pouvant leur fournir à coup sûr, indépendamment des crises de charbon, et de fournitures venant de l’étranger, les aciers purs de différentes nuances nécessaires à leurs usages". Ces aciers seraient utilisés sur place mais aussi dans les autres usines du groupe à Grandvillars et Morvillars, voire vendus aux Ets Peugeot, Japy, Vermot, à la Société alsacienne de Constructions mécaniques (SACM), etc. L’ensemble des usines de VMC (Froidefontaine, Grandvillars, Méziré, Morvillars, etc.) serait par ailleurs à terme alimenté en électricité par la centrale. Le projet comprend donc le barrage de Grosbois (qui constitue une réserve utile de 1 475 000 m3 d’eau environ et dispose d’une usine de hautes eaux à son pied), un canal souterrain de 6 224 m de long aboutissant à une chambre de mise en charge et la centrale de Liebvillers (quatre groupes générateurs). Il est déclaré d’utilité publique et la concession accordée par le décret présidentiel du 5 avril 1923. Les travaux débutent en 1924, le chantier occupant par moments jusqu’à 600 personnes (pour lesquelles est bâtie la cité Vauchamp), et la mise en service de la centrale est autorisée par l'arrêté préfectoral du 30 octobre 1929 (2 janvier 1930 ?).
Le 10 novembre 1923, le registre des délibérations des assemblées générales avait enregistré la déclaration suivante : "La force motrice sera dorénavant la partie principale de notre activité", avec en corollaire la proposition de changement de dénomination pour celle de Société anonyme des Forces motrices, Forges et Visseries de Saint-Hippolyte.
Nouvelle modification en 1930, à la suite des assemblées générales extraordinaires des 28 et 30 décembre 1929, 25 février, 6 et 19 mars 1930 : la séparation de la branche Forges et visserie (qui reste au Gouffre du Lods) d'avec la production d'électricité entraîne la création, au Moulin Artus, de la Société anonyme des Forces motrices de Saint-Hippolyte (SFMSH), au capital de 26 millions F en 1932. Son siège social est à Liebvillers et son siège administratif à Paris (12 rue de la Baume, dans le 8e arrondissement). Elle est présidée par Ernest de Fontaines et ses principaux actionnaires sont, outre VMC, certaines des filiales de la Compagnie générale d’Electricité : la Société financière lorraine d’Electricité (54 rue de La Boétie à Paris), la Compagnie lorraine d’Electricité (64 rue du Faubourg Stanislas à Nancy) et la Société des Forces motrices du Haut-Rhin (2 avenue de Modenheim à Mulhouse). Toutefois, l’activité hydroélectrique s’avère extrêmement dispendieuse si bien que, pour se désendetter, Viellard-Migeon et Cie s’en retire progressivement, de 1930 à 1934 environ, en cédant ses actions à la Compagnie générale d’Electricité. La SFMSH intégrera EDF en 1946.
Cette même année 1930, la SFMSH est au centre d’un projet de création, autour de celle de Liebvillers, de trois chutes situées sur le Doubs à Vaufrey et à Dampjoux, et sur le Dessoubre à Saint-Hippolyte. Elle obtient en 1931 la rétrocession de la concession de la chute de Dampjoux (accordée en 1926 à la Compagnie des Forges d'Audincourt) et y construira (sur la commune de Noirefontaine) une centrale qui entrera en activité en 1943. Celle de Vaufrey, bâtie par la Société d'Études des Forces motrices du Haut-Doubs, débutera sa production en 1949 et celle de Saint-Hippolyte ne verra pas le jour.
La Société des Forges et Visseries, pour sa part, est durement frappée par la crise de 1929, si bien que VMC reprend en 1932 l’ensemble du capital, liant le devenir de la société à celui des établissements de Grandvillars. Elle arrête en 1935 ses installations de transformation des métaux (le dernier feu de forge et le laminoir) et investit dans des machines travaillant l’acier doux. Malgré une modernisation à l’issue de la Deuxième Guerre mondiale des bâtiments et installations de la tréfilerie, l’activité diminue et les effectifs baissent, passant de 70 personnes environ en 1950 à 44 en 1954. L’usine est alors convertie, en 1956, à la fabrication d’éponges végétales à base de cellulose et d’électrodes pour la soudure électrique.
Onze ans plus tard, le 2 novembre 1967, Viellard-Migeon et Cie vend le site à la société Spontex et poursuit sur celui de Grandvillars la fabrication des électrodes, assurée par la Société des Forges et Visseries, futures Forges de Saint-Hippolyte Selectarc (services administratifs et commerciaux avaient déjà été transférés à Morvillars au milieu des années 1950). Apparue en 1932 à Beauvais (Oise), Spontex fonde la société Facel (Fabrication d’Articles cellulosiques), qui investit les lieux. Cette dernière est intégrée en 1989 au groupe Total lors de son rachat par la société Hutchinson. Deux ans plus tard, l’usine produit 15 000 m3 d’éponges avec 90 personnes. Elle en compte 75 en 1996, 36 en 2019.
En 2019, l'usine et la centrale hydroélectrique sont toujours en fonctionnement ; les logements des différents immeubles et cités ont été vendus, de même que l'école (transformée en habitation).
Période(s)
Principale :
- 2e quart 19e siècle
- 3e quart 19e siècle
- 4e quart 19e siècle
- 1er quart 20e siècle
- 2e quart 20e siècle
Description
Situés sur les communes de Liebvillers et Saint-Hippolyte, les sites composant l’ensemble des forges de Saint-Hippolyte sont les anciennes forges du Gouffre du Lods (actuelle usine d'éponges cellulosiques Facel) et la centrale hydroélectrique du Moulin Artus d'une part, l'école des forges, les cités ouvrières du Maroc et Vauchamp et deux immeubles d'ouvriers (celui dit cité du Congo et celui du Moulin Neuf). Les bâtiments y sont majoritairement en moellons calcaires enduits, à l'exception notable de la centrale hydroélectrique, en béton armé. De même, les toits sont pour la plupart à longs pans, pignons couverts et tuiles mécaniques.
Murs :
- calcaire
- béton
- moellon
- béton armé
- enduit
Toit :
- tuile mécanique
- béton en couverture
Source(s) documentaire(s)
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7 S 62 Service hydraulique. Réglementation, autorisations de travaux, renseignements divers (An VI-1920)
7 S 62 Service hydraulique. Réglementation, autorisations de travaux, renseignements divers (An VI-1920)Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 7 S 62 -
Sp 759 Service hydraulique. Réglementation, autorisations de travaux, renseignements divers (1839-1919)
Sp 759 Service hydraulique. Réglementation, autorisations de travaux, renseignements divers (1839-1919)Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 759 -
Sp 764 Service hydraulique. Usines. Réglementation, autorisations de travaux (1836-1913)
Sp 764 Service hydraulique. Usines. Réglementation, autorisations de travaux (1836-1913)Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 764 -
Sp 833 Fonds des Ponts et Chaussées. Travaux d'aménagements en rivière. Aménagement du Doubs entre Vaufrey et Liebvillers (1922-1923) : dossiers de demande et d'enquête
Sp 833 Fonds des Ponts et Chaussées. Travaux d'aménagements en rivière. Aménagement du Doubs entre Vaufrey et Liebvillers (1922-1923)Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 833
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Plan de l’usine de M Blondeau dite la Brasserie. Territoire de Liebvillers, 6 juillet 1838
Plan de l’usine de M Blondeau dite la Brasserie. Territoire de Liebvillers, dessin (plume, lavis), par le conducteur des Ponts et Chaussées Blache, 6 juillet 1838, 1500, 31 x 83 cm
Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 764 -
Plan d’ensemble de l’usine à construire par Mrs Blondeau et Delavelle frères de St Hypolite, sur le territoire de Liebvillers, lieudit au gouffre du Lo, sur la rivière du Doubs, [1843 modifié en 1845]
Plan d’ensemble de l’usine à construire par Mrs Blondeau et Delavelle frères de St Hypolite, sur le territoire de Liebvillers, lieudit au gouffre du Lo, sur la rivière du Doubs, dessin (plume, lavis), s.n., s.d. [1843 modifié en 1845], 1/500, 45 x 59 cm.
Plan fourni par Blondeau et corrigé par l’ingénieur en chef des Mines Drouot suivant l’implantation réelle des équipements.Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 428 S 4 -
Plan de détail de l’usine à fer du Gouffre du Lod, appartenant à Monsieur A. de Blondeau, maître de forges à St Hypolite, 14 septembre 1852
Plan de détail de l’usine à fer du Gouffre du Lod, appartenant à Monsieur A. de Blondeau, maître de forges à St Hypolite, dessin (plume, lavis), par l’architecte ingénieur [illisible], Saint-Hippolyte le 14 septembre 1852, 1/100, 37 x 47 cmLieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 428 S 4 -
Rivière du Doubs. Usines des Forges et Visseries de St-Hippolyte. Demande d’exhaussement du barrage. Extrait de la carte d’état-major, 10 décembre 1912
Rivière du Doubs. Usines des Forges et Visseries de St-Hippolyte. Demande d’exhaussement du barrage. Extrait de la carte d’état-major, dessin imprimé (plume), par le conducteur Cretin, Saint-Hippolyte le 10 décembre 1912, sans échelle, 31 x 21 cmLieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 764 -
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Plan sommaire des lieux et des ouvrages projetés, 1er novembre 1920
Forces motrices du Doubs. Usine Hydro-Électrique de Liebvillers. Plan sommaire des lieux et des ouvrages projetés, dessin imprimé (lavis), par Émile Andrié, 1er novembre 1920, 15000, 42,5 x 252,5 cmLieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 833 -
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages aval. Plan de l’ensemble, octobre 1923
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages aval. Plan de l’ensemble, tirage (lavis), s.n., octobre 1923, 1100, 71 x 173,5 cmLieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 1287 -
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages aval. Profil en long de l’ouvrage, octobre 1923
Forces motrices du Doubs. Usine hydro-électrique de Liebvillers [...] Ouvrages aval. Profil en long de l’ouvrage, tirage (lavis), s.n., octobre 1923, 1100, 58 x 167,5 cmLieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : Sp 1287 -
Forges de St-Hippolyte. Stockage du sulfure de carbone, [1964]
Forges de St-Hippolyte. Stockage du sulfure de carbone, dessin (tirage), s.n., s.d. [1964]
- [Plan-masse de l’usine], échelle approximative 1/333, 65,5 x 126 cm
- [Détail de l’implantation de 15 000 l prévue], 1/200, 62,5 x 74,5 cmLieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 312 W 11
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Auguste-Joseph-Donat de Blondeau, 2019
Auguste-Joseph-Donat de Blondeau. - 2019. Document accessible en ligne sur Wikipédia à l'adresse : https://fr.wikipedia.org/wiki/Auguste-Joseph-Donat_de_Blondeau (consultation : 16 juillet 2019)
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Baudoin, Gilbert. Une histoire des fabricants d’outils "dits de Montécheroux". 1780-1920, 2017
Baudoin, Gilbert. Une histoire des fabricants d’outils "dits de Montécheroux". 1780-1920. - 2017. 48 p. : ill. ; 30 cm. Version provisoire en date du 30 septembre 2017. -
Caligary, Maurice. Visite de Facel, usine de fabrication d’éponge végétale, 1992
Caligary, Maurice. Visite de Facel, usine de fabrication d’éponge végétale. Bulletin de la Société d’Histoire naturelle du Pays de Montbéliard, 1992, p. 183-191 : ill. -
Lamard, Pierre. De la forge à la société holding Vieillard-Migeon et Cie. - Polytechnica : Paris, 1996, 289 p.
Lamard, Pierre. De la forge à la société holding Vieillard-Migeon et Cie. - Polytechnica : Paris, 1996, 289 p. -
Microcentrales hydroélectriques, valorisation industrielle franc‐comtoise, 2009.
Microcentrales hydroélectriques, valorisation industrielle franc‐comtoise [Rapport du cabinet Reilé] / ARID (Association des Riverains Industriels du Doubs), 2009. -
Toillon, Roger. Les forges de Saint-Hippolyte, janvier-février 1996
Toillon, Roger. Les forges de Saint-Hippolyte. Au Clos du Doubs, n° 18, janvier-février 1996, p. 7-11 : ill. -
Traëns, Jean-Bernard. Passer de la forge à l’éponge : l’entreprise Facel, janvier-février 1996
Traëns, Jean-Bernard. Passer de la forge à l’éponge : l’entreprise Facel. Au Clos du Doubs, n° 18, janvier-février 1996, p. 12-13 : ill.
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Prétot Martial (témoignage oral)
Prétot Martial, directeur de l’usine Facel, à Lebvillers.
À voir
Informations complémentaires
Thématiques :
- patrimoine industriel du Doubs
Aire d’étude et canton :
Pays horloger (le)
Hydrographie :
le Doubs
Dénomination :
ensemble de transformation des métaux, ensemble générateur d'énergie
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