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USINE DE MISE EN BOUTEILLES DES EAUX MINÉRALES, ACTUELLEMENT CENTRE D'ART CONTEMPORAIN

58 - Pougues-les-Eaux

23-25 avenue de Conti

  • Dossier IA58001345 réalisé en 2019
  • Auteur(s) : Fabien Dufoulon
Magasin d'embouteillage, façade postérieure. © Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Présentation


La mise en bouteilles de l'eau de la source Saint-Léger est attestée dès l'Ancien Régime. La découverte de la nouvelle source Saint-Marcel (1833) n'a pas de conséquence directe sur l'activité d'embouteillage dans la mesure où ses eaux servent exclusivement aux bains et aux douches de l'établissement thermal. La source Saint-Léger, aux eaux gazeuses, demeure réservée à la consommation sur place et à l'embouteillage.

Procédé d'embouteillage au milieu du 19e siècle

Un ancien magasin est signalé par Félix Roubaud : il correspond au bâtiment à lucarne pignon visible à l'extrémité gauche d'une gravure publié dans son guide (1860) alors transformé en café-fumoir. L'auteur ne décrit pas la nouvelle usine de mise en bouteilles qui la remplace alors, mais s'attarde en revanche sur le procédé d'embouteillage. Un "tube en métal anglais" est plongé à deux mètres de profondeur dans la source et une conduite le relie jusqu'à un réservoir fermé situé dans l'usine. Pour éviter que le fer et l'iode ne se précipitent et que le carbonate de chaux ne forme des concrétions sur les parois des bouteilles, l'eau minérale est embouteillée avec l'acide carbonique, selon un procédé qu'il décrit en détail : "Pour recueillir le gaz, on fait couler dans l'intérieur de la margelle du puits et plonger dans l'eau à quelques centimètres, un immense couvercle en tôle qui empêche le dégagement du gaz et dans lequel celui-ci s'amasse. Ce couvercle est armé, à sa partie supérieure, d'une virole à laquelle s'adapte un conduit qui, souterrainement, communique avec un réservoir placé dans le magasin à embouteillage, à côté de celui qui reçoit l'eau minérale. Chacun de ces réservoirs est armé d'un tuyau qui vient aboutir à une sphère creuse que supporte l'appareil à remplir et à boucher les bouteilles. Dans cette sphère est un battant qui se meut au moyen d'une roue que manœuvre un homme de peine. [...] Avant d'ouvrir le robinet de dégagement, et alors que la sphère est remplie d'eau et de gaz, on met en mouvement le battant qui, dans sa rotation rapide, emporte gaz et liquide, et les force à se mélanger d'une manière intime. C'est alors que l'on ouvre le robinet de dégagement qui plonge dans le goulot de la bouteille. [...] La quantité de gaz, ainsi mélangé au liquide, n'est pas livrée au hasard ; elle est au contraire exactement calculée au moyen d'un manomètre placé au devant de la boule creuse, et cette quantité ne peut, sans de graves dangers, dépasser cinq atmosphères."
Roubaud conteste l'altération des qualités de l'eau par le transport, mis en avant par certains. Le procédé utilisé à Pougues respecte selon lui les propriétés chimiques et physiques de l'eau, et ce d'autant plus qu'il ne s'agit pas d'une source chaude. La mise en bouteilles de l'eau minérale de la source Saint-Léger permet les cures à distance, en dehors de la saison thermale. D'après Roubaud (1870), le nombre de bouteilles commercialisées a quadruplé, passant de 50.000 en 1859 à 100.000 en 1863 et 200.000 en 1866, ce qui laisse supposer une importante modernisation des équipements à cette époque. Castanié (1868) indique que les bouteilles se vendent 70 centimes l'unité. Des pastilles (à 2 francs la boîte) et des sels pour le bain (à 1 franc le rouleau) sont également vendus.

Construction d'une nouvelle usine de mise en bouteilles (1877)

Une nouvelle usine de mise en bouteilles est construite par Charles Naudet en 1877. Elle est le seul bâtiment conservé du site portant une inscription (plaque au pignon ouest). Elle se compose d'un vaisseau central s'étendant sur six travées, encadré par deux vaisseaux latéraux. Ses volumes extérieurs ont été conservés. Janicot (1881) décrit la crypte d'embouteillage : "Cette crypte est un profond et vaste puits carré, aux parois en pierre de taille jointoyées au ciment, et rappelant — sauf les cases — les columbaria où les Romains rangeaient leurs urnes cinéraires. On y descend par une raide échelle en fer solidement cramponnée au mur. Là-bas, c'est une complication de tuyaux, de robinets, de leviers, de machines, et un entassement de bouteilles vides, de bouteilles pleines, qui font parallèlement la navette — du haut en bas et de bas en haut — au moyen d'un ascenseur prudent." Il évoque également le magasin et les ateliers : "Le magasin empile sans cesse une réserve énorme de bouteilles de Rive-de-Gier [dans la Loire] et les ateliers fabriquent, sans repos, les caisses d'exportation". Dans un plan levé en 1928, le vaisseau central du bâtiment est occupé par un magasin de stockage de bouteilles pleines. Les deux travées orientales, du côté du quai de chargement, sont consacrées à l'emballage. Le bas-côté nord est occupé par un magasin d'étiquettes et de cases à bouteilles pleines, le bas-côté sud par des ateliers de menuiserie et des magasins d'emballage et de publicité. La toiture est surmontée d'un réservoir d'eau pour le rinçage.
D'autres bâtiments sont construits à l'ouest et au nord, sans doute dans les années 1880 et 1890. Julien Gonzalez (2005) date une partie des bâtiments de 1896-1897. Devant le mur-pignon ouest, un bâtiment en brique (détruit) abrite des ateliers de réparations et une salle des machines dans le plan de 1928. Juste à côté, au nord, se trouvent deux pavillons séparés par un couloir (détruits) ; il s'agit sans doute dès l'origine de bureaux. Enfin, contre le flanc nord du bâtiment principal, un grand hangar en bois (détruit) sert au rinçage, au tirage et à l'étiquetage. Des projet de travaux de construction d'une galerie souterraine reliant la source Saint-Léger et la fosse d'embouteillage avec une chambre pour la pompe à proximité du puits sont attestés en 1894-1895. Il est encore question d'une galerie à construire en 1908.
Plus de 1,1 million de bouteilles sont expédiées en 1900. Le chiffre augmente encore au cours des années qui suivent. La production atteint plus de 1,5 million de bouteilles en 1909 et 1,7 million de bouteilles en 1911. À la production de l'usine du site Saint-Léger s'ajoute, à cette époque, celle de l'usine du Ponteau qui appartient également à la Compagnie, soit environ 1 million de bouteilles supplémentaires. En 1910-1911, le conditionnement évolue avec le remplacement des bouchons en liège par des bouchons en métal, qui permettent une plus grande stabilité de la composition de l'eau. La commercialisation et les expéditions sont principalement orientées vers l'Île-de-France.

Changement de destination du bâtiment

La Compagnie fait le choix de développer l'usine du Ponteau, directement raccordée à la voie ferrée, dans les années 1920. C'est désormais sur ce site que se concentre l'activité de mise en bouteilles. Un "plan général du tracé des conduites d'eau douce et d'eau minérale à établir dans une même tranchée entre l'établissement thermal Saint-Léger et la source Alice [sur le site du Ponteau]" est conservé dans les archives, mais n'est pas daté. Le tracé contourne le quartier thermal par le nord-ouest et passe sous l'avenue de Paris. En 1930, on demande à des entreprises de charpenterie et de menuiserie des devis pour le démontage et le remontage sur le site du Ponteau de l'ancien hangar de rinçage, de tirage et d'étiquetage. Il est finalement conservé, au moins dans un premier temps, pour servir de garage au Splendid-Hôtel. En 1933, Pol Abraham et Henry Le Même proposent un devis pour la construction d'un plancher en béton au-dessus de l'ancienne chambre d'embouteillage.
Robert Riniéri élabore pour la Compagnie des Eaux minérales de Pougues un projet de transformation du bâtiment principal en salle de cinéma en 1950. Le devis estimatif s'élève à 1.902.408 francs. Le projet n'aboutit pas et le bâtiment tombe peu à peu en ruine après la disparition de la Compagnie (1976). Il est finalement transformé en lieu d'exposition pour le centre d'art contemporain Parc Saint-Léger par l'architecte Benoît Crépet en 2001.

Historique


L'usine de mise en bouteilles est construite par Charles Naudet en 1877. D'autres bâtiments sont construits à l'ouest et au nord, sans doute dans les années 1880 et 1890. Robert Riniéri élabore un projet de transformation du bâtiment principal en salle de cinéma en 1950. Le projet n'aboutit pas et le bâtiment tombe peu à peu en ruine après la disparition de la Compagnie (1976). Il est finalement transformé en lieu d'exposition pour le centre d'art contemporain Parc Saint-Léger par l'architecte Benoît Crépet en 2001.
Période(s)
Principale :
  • 4e quart 19e siècle
  • 1er quart 21e siècle
Date(s)
1877 : porte la date
2001 : daté par travaux historiques
Auteur(s) & personnalité(s)

Date de naissance : 29 mars 1829 - date de décès : 1906

Architecte, né à Châtillon-sur-Seine. Élève de l’École des Beaux-Arts. Architecte de plusieurs hôtels particuliers dans le quartier d'Auteuil, où il est lui-même installé depuis 1867.

Date de naissance : 11 mars 1891 - date de décès : 21 janvier 1966

Description


Le bâtiment construit en moellon calcaire enduite est composé d'un vaisseau central, couvert d'un toit à longs pans en tuile mécanique, encadré par deux vaisseaux latéraux.
Murs :
  • calcaire
  • moellon
  • enduit
Toit :
  • tuile mécanique
Plan :
  • plan rectangulaire régulier
Couvertures :
  • toit à longs pans, pignon couvert

Source(s) documentaire(s)

  • Archives départementales de la Nièvre. Cadastre de la commune de Pougues-les-Eaux. [1812-1953].
    Archives départementales de la Nièvre. Cadastre de la commune de Pougues-les-Eaux. [1812-1953].
    - Atlas parcellaire (1812) : 3 PP 214
    - État de sections (1812) : 3 P 214/1
    - Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : 3 P 214/2 (folio 1 à 352 et folio 1 à 175)
    - Matrices cadastrales des propriétés bâties et non bâties : 3 P 214/3 (folio 1 à 220), 3 P 214/4 (folio 221 à 354) 3 P 214/5 (folio 355 à 750), 3 P 214/6 (folio 751 à 1482)
    - Matrice cadastrale des propriétés bâties (1883-1891) : 3 P 214/7
    - Matrice cadastrale dite "matrice noire" des propriétés bâties : 3 P 214/8
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 3 P 214
  • Archives départementales de la Nièvre. 32 J 224. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Galeries souterraines, parc, allées, projet d’aménagement de la R.N. 7 dans la traversée de Pougues, avec plans (1894-1960). Splendid-Hôtel, réparations, aménagement, assainissement, éclairage, chauffage, eau courante (1887-1947).
    Archives départementales de la Nièvre. 32 J 224. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Galeries souterraines, parc, allées, projet d’aménagement de la R.N. 7 dans la traversée de Pougues, avec plans (1894-1960). Splendid-Hôtel, réparations, aménagement, assainissement, éclairage, chauffage, eau courante (1887-1947).
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 224
  • Archives départementales de la Nièvre. 32 J 395. Fonds de l'établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Hôtel du Parc : travaux et ventes (1924-1933) ; Splendid Hôtel : travaux (1906, 1929-1935) ; Pavillon des sources : construction (1905-1911) ; Buvette Alice (1904, 1907, 1933) ; Chalet Saint-Léger : désaffectation et réutilisation des bâtiments Saint-Léger, réparations (1930-1933) et remise en état pour le docteur Baillet (1938-1939).
    Archives départementales de la Nièvre. 32 J 395. Fonds de l'établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Hôtel du Parc : travaux et ventes (1924-1933) ; Splendid Hôtel : travaux (1906, 1929-1935) ; Pavillon des sources : construction (1905-1911) ; Buvette Alice (1904, 1907, 1933) ; Chalet Saint-Léger : désaffectation et réutilisation des bâtiments Saint-Léger, réparations (1930-1933) et remise en état pour le docteur Baillet (1938-1939).
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 395
  • Archives départementales de la Nièvre. 32 J 396. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Buanderie : réparations (1928-1934) ; restaurant à créer dans les bâtiments de l'ancienne gendarmerie (1931) ; hôtel des postes de Pougues : terrain du Parc Chevalier donné par la commune (1905-1959) ; construction d'un cinéma à Pougues (1950).
    Archives départementales de la Nièvre. 32 J 396. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Buanderie : réparations (1928-1934) ; restaurant à créer dans les bâtiments de l'ancienne gendarmerie (1931) ; hôtel des postes de Pougues : terrain du Parc Chevalier donné par la commune (1905-1959) ; construction d'un cinéma à Pougues (1950).
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 396
  • Archives départementales de la Nièvre. 32 J 398. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Construction d'un nouvel embouteillage (1898-1937).
    Archives départementales de la Nièvre. 32 J 398. Fonds de l’établissement thermal de Pougues-les-Eaux. Construction d'un nouvel embouteillage (1898-1937).
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 398
  • Établissement des eaux minérales de Pougues (Nièvre). [1860].
    Établissement des eaux minérales de Pougues (Nièvre) / Descaries. [1860]. Gravure. 11,5 x 18 cm. In : Roubaud, Félix. Pougues, ses eaux minérales, ses environs. Quatrième édition revue et corrigée. Paris : Libraire J.-B. Baillière et Fils, 1860. 311 p.
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers
  • Une vue du Splendid-Hôtel. [Vers 1898].
    Une vue du Splendid-Hôtel / A. Deroy. [Vers 1898]. Lithographie. In : Pougues-les-Eaux. Établissement thermal Saint-Léger. Splendid-Hôtel. [s.l.] : [s.n.], [s.d.].
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers
  • Compagnie des Eaux minérales de Pougues. Chambre d'embouteillage. Disposition des élévateurs le long du mur nord. 5 mars 1909.
    Compagnie des Eaux minérales de Pougues. Chambre d'embouteillage. Disposition des élévateurs le long du mur nord / Lucas. 5 mars 1909. Dessin. 50 x 25 cm. Échelle 1/20.
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 398
  • Compagnie des Eaux minérales de Pougues. Support pour le[s] colonnes ascensionnelles dans la chambre d'embouteillage. 11 novembre 1911.
    Compagnie des Eaux minérales de Pougues. Support pour le[s] colonnes ascensionnelles dans la chambre d'embouteillage / Lucas. 11 novembre 1911. Dessin. 41,5 x 55 cm. Échelle 1/5.
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 398
  • Compagnie des eaux minérales de Pougues. Plan des bâtiments de l'embouteillage. Septembre 1928.
    Compagnie des eaux minérales de Pougues. Plan des bâtiments de l'embouteillage / [auteur inconnu]. Septembre 1928. Dessin. 100 x 70 (environ). Échelle 1/100.
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 395
  • Avant-projet d'aménagement d'un cinéma à Pougues-les-Eaux. 350 places environ. 1950.
    Avant-projet d'aménagement d'un cinéma à Pougues-les-Eaux. 350 places environ / [Robert Riniéri]. 1950. Reproduction d'un dessin. 66 x 47 cm. Échelle 1/100.
    Lieu de conservation : Archives départementales de la Nièvre, Nevers - Cote du document : 32 J 396
  • Roubaud, Félix. Pougues, ses eaux minérales, ses environs. 1860.
    Roubaud, Félix. Pougues, ses eaux minérales, ses environs. Quatrième édition revue et corrigée. Paris : Libraire J.-B. Baillière et Fils, 1860. 311 p.
  • Roubaud, Félix. Établissement hydro-minéral de Pougues. Un chapitre de son histoire. 1870.
    Roubaud, Félix. Établissement hydro-minéral de Pougues. Un chapitre de son histoire. Paris : Dubuisson, 1870. 35 p.
  • Janicot, Jean. Giron, Aimé. Pougues médical et pittoresque. 1881.
    Janicot, Jean. Giron, Aimé. Pougues médical et pittoresque. Paris : Motteroz, 1881. 369 p.
  • Gonzalez, Julien. En Bourgogne, les villes d'eau oubliées. 2005.
    Gonzalez, Julien. En Bourgogne, les villes d’eaux oubliées : Pougues-les-Eaux, Fourchambault-Garchizy, Saint-Parize-le-Châtel, Decize-Saint-Aré, Maizières, Saint-Christophe-en-Brionnais. Nevers : Éditions Loire et Nièvre, 2005. 157 p. ISBN 2-9524476-0-8.
  • CAUE de Saône-et-Loire. Guide d'architecture en Bourgogne, 1893-2007. 2008.
    CAUE de Saône-et-Loire. Guide d'architecture en Bourgogne, 1893-2007. Paris : Picard, 2008. 399 p. : ill. ; 25 cm.

Informations complémentaires


Année

Nombre de bouteilles

1919
834 000

1920
1 259 000

1922
1 943 000

1925
2 374 000

1929
3 160 000

1930
2 733 000

1933
2 397 000

1936
2 643 000

1951
1 286 000

1953
1 593 000

1955
2 147 000

1956
1 785 500

1959
1 132 000

1960
952 000

1966
1 187 000

1968
803 000

1969
560 000

D'après : Gonzalez, Julien. En Bourgogne, les villes d’eaux oubliées : Pougues-les-Eaux, Fourchambault-Garchizy, Saint-Parize-le-Châtel, Decize-Saint-Aré, Maizières, Saint-Christophe-en-Brionnais. Nevers : Éditions Loire et Nièvre, 2005. 157 p. ISBN 2-9524476-0-8.
Thématiques :
  • thermalisme en Bourgogne-Franche-Comté (le)
Aire d’étude et canton : Bourgogne-Franche-Comté
Dénomination : usine de mise en bouteilles des eaux minérales
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