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LYCÉE EXPÉRIMENTAL PROFESSIONNEL ET INDUSTRIEL, (LEPI), LYCÉE D'ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL (LEP) INDUSTRIEL DE BAVILLIERS, LYCÉE PROFESSIONNEL DENIS DIDEROT, ACTUELLEMENT LYCÉE DES MÉTIERS DENIS DIDEROT

90 - Bavilliers

rue d' Alembert

  • Dossier IA90000166 réalisé en 2012
  • Auteur(s) : Philippe Mairot
La place vue de l'ouest. © Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Historique


La création de ce lycée est débattue à partir de 1981, programmée en 1982, afin d'accueillir certaines sections de la cité technique de Belfort (actuel lycée Raoul Follereau) qui compte 2400 élèves et semble alors saturée. Dans les années 1980, la ville de Belfort et le département cherchent à innover, notamment en matière d’urbanisme, en s’inspirant des expériences les plus brillantes et en s’appuyant sur des architectes susceptibles de conduire des projets neufs, voire audacieux. Le choix de l’architecte belge Lucien Kroll (né en 1927) résulte de la soutenance du diplôme des futurs architectes d’opération, Marie-Laure Schneider et Serge Runstadler, intitulé, et c’est tout un programme : Zone d’Utopie Prioritaire. Christian Proust, alors conseiller général du canton, siége dans le jury, au côté de l’architecte enseignant suisse, Christian Hunziker (1926-1991) qui fera le lien avec Lucien Kroll. (Si l’on ajoute Hundertwasser, on aura une idée de la famille artistique et politique de ce courant de l’architecture organique, via la Belgique, l’Alsace, la Suisse, l’Autriche) Ce travail porte sur cette lisière de la ZUP des Résidences, là où elle jouxte le quartier pavillonnaire de Bavilliers et qui sera choisie pour y installer ce drôle de lycée expérimental. L'avant-projet détaillé est déposé en novembre 1984, les travaux s'effectuent en 1985 et 1986 et la première rentrée du « lycée expérimental professionnel et industriel» a lieu en septembre 1986. L’intention de Lucien Kroll est d’en faire un village dans la ville vivante, traversé par de vraies circulations piétonnières et ouvert à tous les usages ordinaires d’un quartier, et non un objet lycée : refus de la répétition comme de la symétrie et prédilection marquée pour la multiplicité des matériaux, des couleurs et des formes. (Les choix de couleur sont le fait de la femme de Lucien Kroll, Simone (née en 1928) En quoi on pourrait dire que ce lycée prend le contrepied de la construction industrialisée et porte même l’ambition de manifester les savoir-faire et la contribution constructive et inventive des artisans et des entreprises. Lucien Kroll réalise également la maison de quartier qui jouxte le lycée au nord est et occupe l’angle des rues d’Alembert et Zaporojie, tandis que Marie-Laure Schneider et Serge Runstadler se voient confier la construction du gymnase du quartier, également mitoyen au nord-est. Un programme de logements sociaux, toujours pas réalisé à ce jour, devait compléter ce programme. Dès après l'ouverture, les habitants du proche quartier populaire s'approprient les espaces : les mamans viennent y bavarder, avec leurs landaus, et les enfants y jouer. L’évolution des sensibilités et du quartier conduisent à réviser, quelques années plus tard, certaines de ces fortes options de porosité, jugée inopportune, sous la forme d’un retour à l’ordre de la forme plus habituelle d’un lycée fermé -autrement dit sécurisé- et dont l’architecture même est alors transformée, id est, selon son auteur, défigurée. En 1997, une clôture et des caméras de surveillance sont installées afin de mettre fin aux nombreuses intrusions, dégradations et vols dont souffrait l’établissement. A l’automne 2001, le gymnase municipal voisin, dit gymnase Diderot, est la cible d'un incendie criminel et une « bombe artisanale » est déposée devant le bâtiment A. (Le gymnase, reconstruit par l’architecte Jean-Pierre Drezet, est partagé avec le collège et les associations du quartier.) Des rampes d’accès ont été créées en 2002 ainsi que des ascenseurs dans le bâtiment d’externat nord. En 2003, des réfections conduites par l'architecte Jean-Marc Gomez touchent les bâtiments d'administration (partie pédagogique) et une part de l'atelier mécanique et électrotechnique, à nouveau restructuré en 2006, simultanément à la création d'une aire de stationnement à l’ouest, pour les visiteurs.
Période(s)
Principale :
  • 4e quart 20e siècle
Secondaire :
  • 1ère moitié 21e siècle
Date(s)
1985 : daté par source
Auteur(s) & personnalité(s)

Date de naissance : 1927

http://homeusers.brutele.be/kroll/les publications de Lucien Kroll : Faut-il industrialiser l’architecture ? Ed. Socoréma, Bruxelles, 1984.The Architecture Of Complexity, Ed. Batsford London, 1986.Projets et réalisations, Éditions française, allemande, anglaise, japonaise & néerlandaise, 1987.Bio, psycho, socio/éco. Écologies urbaines, préface de Pierre Loze, Ed. L’Harmattan, 1996.Componenten 2, Dieter BESCH, werken van het Atelier Lucien Kroll, Delft University Press, avec un CD-ROM, 1996.Tutto è paesaggio, «Universale di Architettura» dans la collection de Bruno Zevi, 1999.Tout est paysage, textes de l’édition italienne complétés & remaniés, Ed. Sens & Tonka, Paris, 2002.Regards impressionnistes sur les paysages habités. Conversation avec Yvonne Resseler, Ed. Tandem, Namur,Belgique, 2011.Tout est paysage, édition augmentée, revue et corrigée, Ed. Sens & Tonka, Paris, 2012.Sur son travail : BOUCHAIN, Patrick (dir.) de. Simone et Lucien Kroll, une architecture habitée. Actes sud Beaux arts, hors collection, septembre, 2013 / 360 pages. ISBN 978-2-330-02145-0Il est aussi l'auteur d'un lycée technique hqe (Caudry 1997)Influencé par l’architecture et les modes d’habiter au Rwanda où il séjourna en 1969, Lucien Kroll défend une approche organique, écologique, bricolée, s’appuyant sur les désirs des habitants et ne refuse ni l’esthétique de la pauvreté ni la multiplicité des matériaux et l’apparent désordre qui en résulte. Un des principes de Lucien Kroll est « laisser se faire » mais « la participation n’est pas le laisser faire n’importe quoi n’importe comment » On peut évoquer deux de ses concepts clés : L’incrémentalisme qui consiste à adopter une logique du pas à pas, des modalités de modifications et reconfigurations continues, chemin faisant, avec chacun, intégrant l’imprévu imprévisible, sans la direction d’une cohérence externe. C’est l’antithèse du projet préréfléchi, préconçu, déjà fini avant d’avoir été réalisé. La vicinitude qui désigne les relations sociales de voisinage, d’ouverture bienveillante à l’autre que l’architecture peut-doit- faciliter, permettre, induire. C’est l’antithèse de l’anonymat urbain qui juxtapose des "solitudes sans liens."

architecte, agence ATHENAEUM PROJECT, 7, Quai du Magasin, Belfort

Cabinet Schneider Rundstadler associés, à Belfort, 20 rue du Lavoir.

Cabinet Schneider Rundstadler associés, à Belfort, 20 rue du Lavoir.

Description


Le lycée s'étend sur les communes de Bavilliers et de Belfort, pour sa partie nord-est, (cadastre 2012 BR 109) à la lisière d’un ensemble de tours et de barres de 3000 logements, créé à partir de 1950, traversé par le boulevard périphérique : Les Résidences. Un quartier pavillonnaire le cerne au sud et à l’ouest. Le vaste parc public de la Douce le borde au nord. L’établissement est organisé à la manière d’un village, avec ses rues sans alignement, ses ilots et ses places, ses placettes, ses ruelles, et ses bâtiments tantôt conjoints, tantôt reliés, tantôt disjoints. Dans son concept initial, l’architecte l’a voulu résolument différent de son environnement et aussi résolument ouvert à ce quartier, afin que ses rues et places soient réellement habitées par les résidents. Conformément à ce parti très volontariste et réfléchi, dessiné dans les moindres détails de ses dissymétries, motifs d’ondes et dentelles, la diversité des formes, des hauteurs et des matériaux est à son comble, à la manière d’une vieille ville et dans l’esprit d’une architecture organique. Sur les murs on trouve : mélèze, châtaignier, cèdre, zinc, cuivre, pierre, béton banché, moellons de grès apparents, parpaings, briques, enduits. Carène, sheds, toits à deux versants, appentis, terrasse, aux charpentes traditionnelles, et en lamellé-collé ou aux fermes métalliques sont couverts en ciment amiante, tuiles, bac acier, bitume, tôles laquées. Spécialité de l’épouse de l’architecte, Simone Kroll, les couleurs les plus diverses cohabitent, de sorte que les 15 "maisons" indépendantes sont toutes distinctes les unes des autres. Les fenêtres font presque toujours l’objet de découpes irrégulières, souvent en redan. L’antithèse de la trame et de la préfabrication ! Chaque bâtiment porte un nom de mois révolutionnaire : Messidor, Germinal, Fructidor, etc. A l’origine, aucune clôture n'entrave les libres déambulations, conformément à un dessein rêvant d’en faire un lieu public où se mêlent les usages. Ce sont d'ailleurs les mêmes architectes qui, dans un unique geste, construisent les bâtiments voisins : gymnase et maison de quartier. Aujourd’hui, une enceinte délimite et protège le lycée, qui dispose de 4 entrées pour les automobiles et d’une entrée piétonnière privée rue du Bocage, non loin de 3 garages. La seule entrée et sortie pour les élèves se fait par la rue d’Alembert, entre l’infirmerie et les ateliers. Depuis sa place centrale baptisée place des Droits de l'Homme, trois rues rayonnent vers les entrées et desservent les différents espaces. L’une d’entre elles, vers l’est, entre la restauration et l’externat est, débouche sur la placette de la rue de Zaporojie et constituait initialement l’entrée principale du lycée. Une deuxième, vers le nord, entre les ateliers et l’externat nord, aboutit rue d’Alembert. Une troisième, vers l’ouest, entre les bâtiments d’administration et les ateliers de mécanique et d’électronique, conduit à une porte plus à l’ouest dans la rue d’Alembert. Cette « grand’place » est partiellement abritée par une verrière à la découpe souple et dansante, qui s’appuie à la façade du foyer et de l’externat nord, enjambe la rue vers l’est et offre ainsi l’abri d’un préau ondoyant. Conformément au projet très volontariste d’ouvrir le lycée sur le quartier, les logements de fonction (faits en pans de bois et béton armé) sont dispersés en périphérie du site : deux d’entre eux, de forme polygonale, présentent leurs pignons d’entrée rue de Zaporojie, face aux tours, à proximité de l’entrée, à l’origine principale, aujourd’hui condamnée ; un troisième aligne son mur gouttereau sur le sud de la place (tous trois ont un étage carré, un toit à longs pans, couverts de tuiles mécaniques, un essentage de planche) ; le quatrième au sud-ouest, plus grand, est accolé à la limite ouest de la parcelle (garage, enduit, toit à longs pans, couverts de tuiles mécaniques, en rez-de-chaussée, un étage de comble) Le bâtiment de la restauration, implanté le long de la rue vers l’est, a un sous-sol comprenant une chaufferie, une ventilation et un magasin de stockage de denrées alimentaires. Un rez-de-chaussée abrite la cantine et un étage carré des salles de cours. Il est en ossature bois et en brique dans les parties basses. Son entrée sur cette rue intérieure est surmontée d’un auvent en charpente, couvert en tuiles mécaniques. Sa façade, percée de fenêtres carrées, rectangulaires ou à redan présente un essentage de planches dans ses parties hautes et de petites briques montant à différentes hauteurs dans ses parties inférieures. Accolé à l’ouest de la restauration, le foyer affirme sa fonction et son caractère central sur la place, par une entrée encadrée de deux colonnes de grès des Vosges au volume irrégulièrement quadrangulaire qui va s’accroissant, comme des pattes d’éléphant et par un escalier hors-œuvre, tournant à droite, à retours sans jour, de béton rouge et blanc, dont les courbes souples dialoguent avec celles de la verrière qui l’abrite. A l’intérieur, le plafond est rythmé par des ondulations de vagues, reposant sur des poteaux cylindriques rouges. Construit en parpaing de béton, enduit en blanc, il a un étage carré et un toit à plusieurs pans brisés en cuivre, surmonté d’un lanterneau. Sur sa face postérieure, une circulation extérieure ceint le bâtiment au premier étage sur une charpente métallique et dalle de béton aux garde-corps de hauteurs soigneusement inégales. Au sud de cette même rue, faisant face à la restauration, se trouve l’externat oriental formé de quatre parties conjointes, en parpaings, enduites en blanc : à l’est, l’ancien atelier de couture puis d’électrotechnique est couvert par trois sheds de tailles distinctes et en ciment amiante ondulé. Il abrite maintenant une salle polyvalente, des salles de cours et un transformateur en soubassement au sud. Il est flanqué à l’ouest de deux bâtiments d’externat conjoints dont les toits à longs pans couverts de tuiles mécaniques sont orientés perpendiculairement à la rue et dont les fenêtres ont des linteaux en redan. Ils ont un étage carré et un étage de soubassement au sud, couvert en appentis, dont les escaliers sont éclairés par une verrière. Encore à l’ouest, accolé au précédent, un bâtiment en rez-de-chaussée, couvert d’une terrasse, partiellement enduit, partiellement couvert d’essentage de planches, présente les courbes de son entrée, desservie par une rampe d’accès, sur la place. Au sud, il se prolonge par un étage de soubassement qui accueille une chaufferie.Au sud-ouest de la cour, un ensemble est constitué de quatre édifices conjoints. Le bâtiment enduit en blanc, d’un étage carré situé au sud-est, prévu pour loger le personnel d’accueil est occupé par des bureaux de l’administration et une chaufferie. Il présente son étroit pignon sur la cour, a un toit à longs pans couvert en tuiles mécaniques. Sur sa face sud, il est prolongé d’un bloc en rez-de-chaussée, surmonté d’une terrasse. Le bâtiment au sud abrite l’administration. Il a un étage carré, un étage de soubassement, un étage de comble, un toit de zinc dont le profil est en carène pour sa moitié sud, et à long pan pour sa moitié nord. A l’inverse, les deux bâtiments qui lui sont accolés au nord et abritent des salles de cours, ont un toit de zinc dont le profil est en carène pour leur moitié nord, et à long pan pour leur moitié sud. Ils sont tous trois enduit en blanc dans leur partie basse et portent des essentages de zinc dans leurs parties hautes. Des baies carrées et rectangulaires sont ouvertes dans les parties hautes et des baies en arcade par paires dans les rez-de-chaussée. Trois garages sont disposés le long de la rue du bocage.Occupant une large partie nord-ouest de la parcelle, un bloc composé d’un agrégat d’ateliers collés les uns aux autres, forme grossièrement un U ouvert vers l’ouest, où se trouve une cour maintenant enherbée et arborée, originellement bitumée. Tous les ateliers sont en rez-de-chaussée, édifiés en parpaings de béton, leurs charpentes sont en bois ou en acier, et ils sont couverts de divers parements contribuant à les individualiser : enduit, moellons, grès, essentage de planches et de tôle de couleurs diverses, essentage de bardeaux. Parfois, comme le grès rose, les vitres, le ciment et les bardeaux sur le pignon d’entrée de Messidor, ils alternent sur le même mur. Les formes originales de leurs toitures, qui s’apparentent à des toits en double-bâtière, dont les faîtages sont en pente et surmontés de lanterneaux pyramidaux de verre, contribuent puissamment à l’image d’ateliers groupés à la manière de gros animaux attroupés. Ce moutonnement bleu est particulièrement sensible depuis l’ouest. La partie nord, rénovée, présente une longue façade sur la rue intérieure où alternent les vitrages, les tôles bleu clair et les planches marron clair, tandis qu’à l’arrière, on trouve des lignes horizontales de planches blanches et gris bleu. Ces ateliers abritent les formations en électrotechnique au nord et en mécanique, usinage et productique au sud, ainsi qu’une chaufferie et un transformateur.L’infirmerie, construite en bois sur une base de béton, vient s’encastrer au nord de cet ensemble. Brique et ciment amiante utilisés en parement et enduit, alternent sur ses murs. Son toit à longs pans couvert de tuiles rouge, avec sa croupe débordante au sud et son avant-toit au nord, contraste avec les variétés de bleu des toits voisins d’acier et de zinc. Au nord-est, un dernier ensemble de bâtiments, construit en parpaing, tous conjoints accueille, du nord au sud : des ateliers d’électrotechnique, des salles de cours, et les bureaux de la vie scolaire et d’accueil ouvrant sur la cour des Droits de l’Homme, par un escalier droit en béton, demi-hors-oeuvre et une rampe d’accès, sous l’auvent vitré. Au nord, un groupe de trois bâtiments de plan rectangulaire et carré, augmenté d’un petit édifice de plan rectangulaire en saillie au nord, abritant un transformateur, accueille les ateliers. (en rez-de-chaussée, toit en double-bâtière avec lanterneau en verre, couverture en matériau synthétique, essentage de bardeaux pour l’occidental et de tôles vertes pour les deux orientaux) Le long de la rue vers le nord, les façades non alignées présentent les pignons découverts des salles de cours sur deux étages. (deux étages carrés, un étage de comble, ciment amiante en couverture et en essentage partiel, tôle grise en essentage à l’étage, enduit au rez-de-chaussée pour les deux bâtiments distaux dont des consoles supportent leurs débords sur la rue ; un étage carré, essentage de bardeaux pour le bâtiment médian)
Murs :
  • bois
  • brique
  • béton
  • grès
  • pan de bois
  • béton armé
  • parpaing de béton
  • essentage de tôle
  • essentage de planches
  • essentage de matériau synthétique
  • essentage de bardeaux
  • enduit
  • plaquis
Toit :
  • tôle nervurée
  • tuile mécanique
  • zinc en couverture
  • ciment en couverture
  • matériau synthétique en couverture
  • cuivre en couverture
Etages :
  • étage de soubassement
  • rez-de-chaussée
  • 1 étage carré
Couvrement :
  • charpente en bois apparente
  • charpente métallique apparente
  • charpente en béton armé apparente
Escalier :
  • escalier tournant à retours avec jour, en charpente
  • escalier hors-oeuvre, escalier tournant à retours sans jour, en maçonnerie
  • escalier droit, en maçonnerie
Autre :
  • monte-charge
  • ascenseur
  • rampe d'accès

Source(s) documentaire(s)

  • 2 W 5 ? - Lycées de Franche-Comté
    2 W 5 ? - Lycées de Franche-Comté
    Lieu de conservation : Région Franche-Comté, Archives, Besançon - Cote du document : 2 W 5 ? - Lycées de Franche-Comté
  • BOUCHAIN, Patrick. Simone et Lucien Kroll, une architecture habitée, 2013
    BOUCHAIN, Patrick (dir.) de. Simone et Lucien Kroll, une architecture habitée. Actes sud Beaux arts, hors collection, septembre, 2013 / 360 pages. ISBN 978-2-330-02145-0

Informations complémentaires

Thématiques :
  • lycées publics de Franche-Comté
Aire d’étude et canton : Franche-Comté
Complément de localisation :
  • oeuvre située en partie sur la commune Belfort
Dénomination : école professionnelle
Parties constituantes non étudiées :
  • préau
  • stade
  • piste d'athlétisme
  • logement
  • internat
  • cantine
  • atelier
  • gymnase
  • transformateur
  • garage
  • escalier
  • resserre
  • bureau
  • stationnement
  • chaufferie
  • buanderie
  • port
  • portique
  • clôture
Carte interactive
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