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PRÉSENTATION DE LA COMMUNE DE JOUGNE

25 - Jougne

  • Dossier IA25000614 réalisé en 2008
  • Auteur(s) : Liliane Hamelin, Carole Josso
Vue de situation. © Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Historique

La cluse de Jougne

Jougne est située à la frontière franco-suisse, à 1 000 m d’altitude, sur un plateau qui surplombe la vallée de la Jougnena, dominé par les Aiguilles de Baulmes (1 350 m), le Mont Suchet (1 588 m), la Dent de Vaulion (1 483 m) et le Mont d’Or (1 462 m). L’agglomération est composée du village de Jougne et de sept hameaux : Entre-les-Fourgs, le Moulin, les Maillots, la Ferrière, les Échampés, les Tavins et les Piquets. Le développement de la commune est dû à sa situation exceptionnelle, au débouché d’un des rares cols permettant le franchissement de la chaîne du Jura, barrière naturelle entre la France et la Suisse. Fréquenté depuis l’époque gallo-romaine, ce passage est probablement connu dès le Premier âge du fer.
La voie romaine, qui part de la vallée du Pô pour rejoindre Lausanne par le col du Grand-Saint-Bernard, puis Besançon par Jougne, se transforme en voie commerciale et monastique. Ainsi, au XIIe siècle, l’abbaye d’Agaune, en Suisse, fonde la chapelle Saint-Maurice à la Ferrière, située sur le chemin des pèlerins qui rejoignent l’église Saint-Bénigne de Dijon.
Le péage de Jougne est acheté en 1266 par Jean de Chalon, sire de Salins. Reconnu en 1288 par Rodolphe, roi des romains, il devient très rapidement l’un des plus grands péages européens. Il atteint son apogée au XIVe siècle, alimenté notamment par le commerce des draps entre l’Italie et la Flandre, via les grandes foires de Champagne. Il décline peu à peu au profit de Genève, puis de Lyon, pour être supprimé en 1780.

Jougne, ville fortifiée

Le péage et l’intensification du trafic par la cluse de Jougne est à l’origine du développement des infrastructures nécessaires au transit des hommes, des animaux et des marchandises (routes, ponts, relais, auberges, et plus tard douanes). Dès le XIIIe siècle, un château défend le passage et assure la sécurité des routes. À ses pieds, la ville s’organise, protégée par un mur d’enceinte percé de deux portes, l’une au nord vers Pontarlier et la France, l’autre au sud vers Vallorbe et la Suisse. En février 1639, pendant la guerre de Dix Ans, le château est ruiné par les troupes de Bernard de Saxe-Weimar. Non reconstruit, il est abandonné et a aujourd’hui disparu. Son empreinte reste visible dans le parcellaire et la toponymie (rue du Château, rue du Châtelet, rue des Remparts). En 1847, la section ouest de l’enceinte est démantelée lors de la construction de la nouvelle route. Le tracé du mur de fortification est modifié (devis de 1852) pour pouvoir y asseoir l’abside de la nouvelle église. En 1899, une partie de l’enceinte sud est reconstruite pour soutenir la place du Mont-d’Or.
Aujourd’hui, les fortifications ne sont conservées que sur les flancs est et sud, la porte sud n’étant plus marquée que par deux piliers. La porte nord est toujours couverte d’un arc segmentaire, sur lequel on peut voir les armes du bourg de Jougne récemment sculptées : partie de gueules à l’épée d’or mise en pal au premier et d’argent à la clef de gueules au second.
Le bourg intra-muros est organisé autour de deux rues parallèles, les actuelles rues de l’Église et des Sœurs, qui se rejoignent au-devant des portes. Des ruelles perpendiculaires, dont la plupart ont conservé leur caractère végétal complètent ce réseau.
Deux foires annuelles et un marché hebdomadaire justifient l’existence de halles mentionnées jusqu’en 1685 sur l’actuelle place du Mont-d’Or. Quelques caves voûtées d’arêtes témoignent du développement urbain de la fin du Moyen Age. Puis, des habitations, essentiellement des fermes, s’installent à l’extérieur de l’enceinte, le long de la route qui rejoint Pontarlier. Au XVIIIe siècle, ce faubourg se développe indépendamment du bourg autour d’une place et d’un lavoir.

La ville moderne et contemporaine

En 1847, une nouvelle voie de communication modifie la topographie du site. L’ancienne route royale 67 qui relie Saint-Dizier et Lausanne, via Jougne (par la rue de l’Église et la porte sud) et la Ferrière, est abandonnée au profit de la nouvelle route, la RN 67, qui passe par les Tavins. Ce tracé n’est pas sans conséquence. La route traverse et détruit une place au centre du faubourg, isolant les habitations situées à l’ouest. La portion occidentale de l’enceinte est démantelée. Dans les années 1970, la RN 67 devient RN 57. Actuellement, cet axe reste la principale voie entre la France et la Suisse, et Jougne voit, journellement, passer plus de 7 000 voitures et 900 poids lourds.
Quelques années après la création de la Route Nationale, Jougne est victime d’un terrible incendie. Peu avant midi, le 11 juillet 1870, le feu se déclare dans une maison isolée du hameau de la Ferrière. Un vent très violent transporte des débris enflammés sur les hauteurs du village, qui en une heure, se voit réduit à néant. Les 1 600 Jougnards sans abri trouvent asile dans des cabanes de fortune élevées dans l’entrepôt de la douane. Jougne met des années à se reconstruire. Dix ans après le drame, la commune déplore toujours l’absence d’école. Trente ans après, le terrain sur lequel s’élève actuellement le presbytère est toujours encombré de vieux matériaux provenant de l’incendie. En 1895, l’influence des théories hygiénistes aboutit, dans cette ville flambant neuve, à la création de trottoirs, de rigoles pavées et d’égouts. La construction de bains publics est même envisagée.
Un autre grand chantier a fait entrer Jougne dans l’ère moderne, la voie ferrée Pontarlier-Vallorbe actuellement désaffectée. Dès 1857 le canton de Vaud, désirant être désenclavé, contacte la société du P.L.M. Si côté Suisse, les travaux commencent rapidement pour s’achever en 1867, côté France, en raison des retards dus au conflit franco-prussien et à ceux de l’incendie de 1870, il faut attendre 1872 pour que les travaux commencent. La ligne sera finalement inaugurée le 1er juillet 1875, quatre ans jour pour jour après l’incendie. De Pontarlier via les Hôpitaux Neufs, la voie ferrée débouche du tunnel, long d’environ 1 550 m, dans une profonde tranchée creusée sur des terrains en grande partie constitués de jardins et de prés.Un second souterrain a été aménagé sous la route nationale. La voie ferrée se poursuit entre les hameaux des Tavins et du Piquet où un pont enjambe à nouveau la R.N. Endommagée pendant la seconde guerre mondiale, ainsi que le tunnel, la ligne est abandonnée. Il ne reste qu’un pilier au bord de la route conduisant à Vallorbe, vestige d’une voie qui fut ligne internationale entre Paris et Trieste une fois le percement du tunnel du Simplon entrepris entre 1910 et 1915. En 1993, quelques passionnés réunis au sein de l’association « Coni’fer » restaurent une partie de la voie, afin d’y faire circuler un train touristique entre les Hôpitaux Neufs et Fontaine-Ronde, commune de Montperreux. La création de la voie ferrée Pontarlier-Vallorbe en 1875 favorise le développement du tourisme et l’apparition, dans le bourg et le faubourg, de maisons d’été, sans confort particulier. Ces maisons, de type citadin, détonnent au milieu des fermes et du paysage couvert de pâtures.
Au-delà du faubourg, la commune se dessaisit, au début du XXe siècle, de terrains « couverts de ronces et d’épines » en les vendant à des particuliers qui y construisent leurs maisons. En 1905 le chroniqueur du bulletin paroissial La Voix de Saint Maurice décrit ainsi le nouveau quartier qu’il nomme « Le Faubourg neuf » des Enchaux : « des maisons bien proprettes, ayant vue sur les deux routes, exposées en plein midi avec l’air et la lumière à profusion, entourées de jardins parsemés de fleurs et de vergers avec ses arbres fruitiers ». Ces changements se voient aussi aux Tavins et aux Échampés et dans le quartier du Remblai, proche de la voie ferrée. Ce quartier s’étend en occupant le terrain des anciennes carrières exploitées jusqu’en 1935. À côté des nouvelles maisons apparaissent des ateliers : une forge à laquelle sera accolé par la suite un café qui deviendra un hôtel sous le nom des « Enchaux », puis en 1955, un plombier-chauffagiste y construit son atelier et son logis. À ceux-ci viennent s’ajouter, dans les années 1960, des hôtels et des colonies de vacances : maison de la ville de Montrouge (1964, sur les plans de l’architecte Pierre Cencelme de Lons-le-Saunier), maison familiale de la gendarmerie. Dans les années 1970-1980, les collines dévolues traditionnellement aux pâturages sont loties : sur la Côte, les Ravières, la Fougère.

Source(s) documentaire(s)

  • Archives départementales du Doubs : 3 P 320 Cadastre de la commune de Jougne, 1839.
    Archives départementales du Doubs : 3 P 320 Cadastre de la commune de Jougne, 1839.Notamment : Plan cadastral parcellaire [...] terminé sur le terrain le 18 novembre 1839 [...] par M Gounand, géomètre
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 3 P 320
  • Section B d'Entre les Fourgs en deux feuilles, 2e feuille [plan cadastral], 1839.
    Section B d'Entre les Fourgs en deux feuilles, 2e feuille [plan cadastral], dessin (plume, lavis), par le géomètre Gounand, 1839, 1/1 000, 1/2 000 et 1/4 000
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 3 P 320
  • Section C de la Ferrière en trois feuilles, 1ère feuille [plan cadastral], 1839.
    Section C de la Ferrière en trois feuilles, 1ère feuille [plan cadastral], dessin (plume, lavis), par le géomètre Gounand, 1839, 1/2 000
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 3 P 320
  • Section C de la Ferrière en trois feuilles, 2e feuille [plan cadastral], 1839.
    Section C de la Ferrière en trois feuilles, 2e feuille [plan cadastral], dessin (plume, lavis), par le géomètre Gounand, 1839, 1/2 000
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 3 P 320
  • Section E du Village et Baland en trois feuilles, 3e feuille [plan cadastral], 1839.
    Section E du Village et Baland en trois feuilles, 3e feuille [plan cadastral], dessin (plume, lavis), par le géomètre Gounand, 1839, 1/1 000
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 3 P 320
  • Section D du Mont-Ramey en deux feuilles, 1re feuille [plan cadastral], 1839.
    Section D du Mont-Ramey en deux feuilles, 1re feuille [plan cadastral], dessin (plume, lavis), par le géomètre Gounand, 1839, 1/1 000
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 3 P 320
  • Plan d'ensemble du village de Jougne, 25 novembre 1903
    Plan d'ensemble du village de Jougne, dessin, par le géomètre H. Lucas, Bonnevaux le 25 novembre 1903, échelle 1:1 000
  • Village de Jougne. 1ère feuille, 25 novembre 1903.
    Village de Jougne. 1ère feuille, dessin, par le géomètre H. Lucas, Bonnevaux le 25 novembre 1903, échelle 1:500
  • Village de Jougne. 2e feuille, [1903].
    Village de Jougne. 2e feuille, dessin, [par le géomètre H. Lucas], [1903], échelle 1:500
  • Village de Jougne. 3e feuille, [1903].
    Village de Jougne. 3e feuille, dessin, [par le géomètre H. Lucas], [1903], échelle 1:500
  • La Ferrière [1ère feuille], 1906-1907.
    La Ferrière [1ère feuille], dessin, par le géomètre Henri Lucas, 1906-1907, échelle 1:1 000
  • La Ferrière [2e feuille], 1906-1907.
    La Ferrière [2e feuille], dessin, par le géomètre Henri Lucas, 1906-1907, échelle 1:1 000
  • Plan du hameau les Tavins, 30 novembre 1901.
    Plan du hameau les Tavins, dessin, par le géomètre Henri Lucas, 30 novembre 1901, échelle 1:500
  • Plan du hameau les Echampés, 30 novembre 1901.
    Plan du hameau les Echampés, dessin, par le géomètre Henri Lucas, 30 novembre 1901, échelle 1:500
  • Plan du hameau de Entre les Fourgs, 20 décembre 1909.
    Plan du hameau de Entre les Fourgs, dessin, par le géomètre Henri Lucas, 20 décembre 1909, échelle 1:500
  • Jougne (Doubs). Avant l'incendie du 11 juillet 1870, [3e quart 19e siècle].
    Jougne (Doubs). Avant l'incendie du 11 juillet 1870, carte postale, s.n., s.d. [3e quart 19e siècle], C. Lardier éd. à Besançon.
    Lieu de conservation : Collection particulière : Michel Villard, Les Piquets
  • Jougne (Doubs). Avant l'incendie du 11 juillet 1870, [3e quart 19e siècle].
    Jougne (Doubs). Avant l'incendie du 11 juillet 1870, carte postale, s.n., s.d. [3e quart 19e siècle], C. Lardier éd. à Besançon.
    Lieu de conservation : Collection particulière : Michel Villard, Les Piquets
  • Jougne (Doubs). Avant l'incendie du 11 juillet 1870 - L'Eglise Saint-Maurice, [3e quart 19e siècle].
    Jougne (Doubs). Avant l'incendie du 11 juillet 1870 - L'Eglise Saint-Maurice, carte postale, s.n., s.d. [3e quart 19e siècle], C. Lardier éd. à Besançon.
    Lieu de conservation : Collection particulière : Michel Villard, Les Piquets
  • [Le village au lendemain de l'incendie du 11 juillet 1870].
    [Le village au lendemain de l'incendie du 11 juillet 1870], photographie, par le conducteur des Ponts et Chaussées Monget.
  • Environs de Pontarlier - Jougne - Vue générale - Au fond, le Mont Suchet (1610 m.), [fin 19e ou début 20e siècle ?].
    Environs de Pontarlier - Jougne - Vue générale - Au fond, le Mont Suchet (1610 m.), carte postale, s.n., s.d. [fin 19e ou début 20e siècle ?], Faivre-Locca éd. à Pontarlier.
  • Jougne, [fin 19e ou début 20e siècle ?].
    Jougne, carte postale, s.n., s.d. [fin 19e ou début 20e siècle ?].
    Lieu de conservation : Collection particulière : Michel Villard, Les Piquets
  • 615. Frontière Franco-Suisse - Les Douaniers en embuscade, [1er quart 20e siècle].
    615. Frontière Franco-Suisse - Les Douaniers en embuscade, carte postale, par Ch. Simon, s.d. [1er quart 20e siècle], Simon éd. à Maîche et Ornans
  • Jougne (Doubs) - Alt 1020 m. Hôtel du Centre. Pension de famille - Station touristique et climatique, 1er quart 20e siècle.
    Jougne (Doubs) - Alt 1020 m. Hôtel du Centre. Pension de famille - Station touristique et climatique, carte postale, par Chaffanjon, s.d. [1er quart 20e siècle].
    Lieu de conservation : Collection particulière
  • Environs de Pontarlier - Le Moulin et les Maillots-sous-Jougne, [1er quart 20e siècle].
    Environs de Pontarlier - Le Moulin et les Maillots-sous-Jougne, carte postale, s.n., s.d. [1er quart 20e siècle].
    Lieu de conservation : Collection particulière : Michel Villard, Les Piquets
  • Jougne. Chez Piquet-Gamba, avant 1924.
    Jougne. Chez Piquet-Gamba, carte postale, s.n., avant 1924 [cachet de la poste].
  • Jougne - Vue d'ensemble [depuis le nord-ouest], [1ère moitié 20e siècle ?].
    Jougne - Vue d'ensemble [depuis le nord-ouest], carte postale, s.d. [1ère moitié 20e siècle ?].
  • Le quartier de l'église vu de l'ouest, [1ère moitié 20e siècle?].
    Le quartier de l'église vu de l'ouest, carte postale, s.d. [1ère moitié 20e siècle?].
  • Jougne (Doubs) - Entrée du village - Route de Lausanne, [1ère moitié 20e siècle].
    Jougne (Doubs) - Entrée du village - Route de Lausanne, carte postale, s.n., s.d. [1ère moitié 20e siècle].
    Lieu de conservation : Collection particulière : Michel Villard, Les Piquets
  • Jougne - Le Haut de Jougne, [1ère moitié 20e siècle].
    Jougne - Le Haut de Jougne, carte postale, s.d. [1ère moitié 20e siècle], Faivre-Locca éd. à Pontarlier.
  • Jougne - Mont-d'Or. Hôtel, [1ère moitié 20e siècle].
    Jougne - Mont-d'Or. Hôtel, carte postale, s.d. [1ère moitié 20e siècle], Faivre-Locca éd. à Pontarlier.
  • 204. Jougne - Le Tunnel, [1ère moitié 20e siècle ?].
    204. Jougne - Le Tunnel, carte postale, s.d. [1ère moitié 20e siècle ?], Faivre-Locca éd. à Pontarlier.
  • 1080. - Jougne (Doubs). - La Ferrière-sous-Jougne - Les Tavins et Rochers du Mont d'Or (Altitude 1463 m.), [1ère moitié 20e siècle].
    1080. - Jougne (Doubs). - La Ferrière-sous-Jougne - Les Tavins et Rochers du Mont d'Or (Altitude 1463 m.), carte postale, s.n., s.d. [1ère moitié 20e siècle], C. Lardier éd. à Besançon.
  • Dans le cadre du Mont d'Or, assis sur la frontière franco-suisse, le pittoresque Hameau des Piquets - Environs Ferrière-s/-Jougne (Doubs), [1ère moitié 20e siècle].
    Dans le cadre du Mont d'Or, assis sur la frontière franco-suisse, le pittoresque Hameau des Piquets - Environs Ferrière-s/-Jougne (Doubs), carte postale, s.n., s.d. [1ère moitié 20e siècle].
    Lieu de conservation : Collection particulière : Michel Villard, Les Piquets
  • [Vue d'ensemble d'Entre-les-Fourgs, depuis le sud-est], [1ère moitié 20e siècle].
    [Vue d'ensemble d'Entre-les-Fourgs, depuis le sud-est], carte postale, s.d. [1ère moitié 20e siècle].
  • [Vue d'ensemble d'Entre-les-Fourgs, depuis l'ouest], [1ère moitié 20e siècle ?].
    [Vue d'ensemble d'Entre-les-Fourgs, depuis l'ouest], photographie ou carte postale, s.d. [1ère moitié 20e siècle ?].
  • Jougne (Doubs) - Vue aérienne 12911 - Le centre du Village et l'Eglise, [décennie 1950].
    Jougne (Doubs) - Vue aérienne 12911 - Le centre du Village et l'Eglise, carte postale, par Rancurel, s.d. [décennie 1950], Ed. aériennes "CIM", Combier impr. à Macon.
    Lieu de conservation : Collection particulière : Marcel Parriaux, Jougne
  • [Café-restaurant aménagé dans une ferme], [milieu 20e siècle].
    [Café-restaurant aménagé dans une ferme], photographie ou carte postale, s.d. [milieu 20e siècle].
  • [Fromagerie, en hiver], [2e moitié 20e siècle].
    [Fromagerie, en hiver], photographie, s.d. [2e moitié 20e siècle].
  • [Vue aérienne du village, depuis le sud], [3e quart 20e siècle].
    [Vue aérienne du village, depuis le sud], photographie en couleur, s.d. [3e quart 20e siècle].
  • 210. Jougne - Route Nationale, avant 1911.
    210. Jougne - Route Nationale, carte postale, avant 1911 [cachet de la poste au revers], Faivre-Locca éd. à Pontarlier.
    Lieu de conservation : Collection particulière
  • Jougne (Doubs) - "A la Dame de Joux" - Crèmerie - Mademoiselle Guidot, propr., [2e quart 20e siècle].
    Jougne (Doubs) - "A la Dame de Joux" - Crèmerie - Mademoiselle Guidot, propr., carte postale, s.d. [2e quart 20e siècle].
    Lieu de conservation : Collection particulière : Marcel Parriaux, Jougne
  • Chomel, Vital ; Ebersolt, Jean. Cinq siècles de circulation internationale vue de Jougne. Un péage jurassien du XIIIe au XVIIIe siècle, 1951.
    Chomel, Vital ; Ebersolt, Jean. Cinq siècles de circulation internationale vue de Jougne. Un péage jurassien du XIIIe au XVIIIe siècle. - Paris : Armand Colin, 1951. 216 p.
  • Courtieu, Jean (dir.). Dictionnaire des communes du département du Doubs, 1982-1987.
    Courtieu, Jean (dir.). Dictionnaire des communes du département du Doubs. - Besançon : Cêtre, 1982-1987. 6 t., 3566 p. : ill. ; 24 cm.
  • Glauser, Daniel. Les maisons rurales du canton de Vaud. Tome I. Le Jura vaudois et ses contreforts, 1989.
    Glauser, Daniel. Les maisons rurales du canton de Vaud. Tome I. Le Jura vaudois et ses contreforts. - Bâle : Société suisse des Traditions populaires, 1989. 547 p.-[4] f. de carte dépl. : ill. ; 29 cm. (Les maisons rurales de Suisse ; 16).
  • Hamelin, Liliane ; Josso, Carole. Jougne : petite cité comtoise de caractère, 2009.
    Hamelin, Liliane ; Josso, Carole. Jougne : petite cité comtoise de caractère. - Lyon : Lieux Dits, 2009. 72 p. : ill. en coul. ; 23 cm. (Parcours du patrimoine ; 348).
  • Jantet, Edmond. Histoire de Jougne, 1902.
    Jantet, Edmond. Histoire de Jougne. - Lons-le-Saunier : Arts et Littérature, 2007. 412 p. : ill. ; 21 cm. Fac-sim. de l'éd. de Pontarlier : Th. Simon, 1902.
  • Olivier, Bernard ; Malfroy, Michel ; Guiraud, Joël. Histoire de Jougne, 1988.
    Olivier, Bernard ; Malfroy, Michel ; Guiraud, Joël. Histoire de Jougne. - Besançon : Cêtre, 1988. 126 p. : ill. ; 24 cm.
  • Le patrimoine des communes du Doubs, 2001.
    Le patrimoine des communes du Doubs. - Paris : Flohic, 2001. 2 vol., 1387 p. : ill. ; 25 cm. (Le patrimoine des communes de France)
  • Robert, Jean-François. Vieilles bornes en Pays de Vaud, 1980.
    Robert, Jean-François. Vieilles bornes en Pays de Vaud. - Vevey : Conservatoire rural, Association pour l'Arboretum du Vallon de l'Aubonne, 1980.

Informations complémentaires

Thématiques :
  • petites cités comtoises de caractère
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