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BESANÇON INDUSTRIEL

25 - Besançon

  • Dossier IA25001703 réalisé en 2017
  • Auteur(s) : Raphaël Favereaux
20192500751NUCA © Région Bourgogne-Franche-Comté, Inventaire du patrimoine

Historique


Représenté par une petite centaine de sites, le patrimoine industriel de la ville de Besançon est largement dominé par l’industrie horlogère. Près de 70 sites liés à cette activité ont été identifiés et étudiés sur le territoire communal, mais prétendre à l’exhaustivité pour cette industrie reste une gageure, tant elle imprègne toute la ville au 19e siècle, et se confond avec l’habitat dans l’architecture civile.
On peut néanmoins distinguer plusieurs formes "d’occupation" de l’activité horlogère, qui accompagnent le développement urbain :
-logements du centre ancien (Boucle du Doubs et quartier de Battant) occupés par le gros de la main-d’œuvre horlogère (tout au long du 19e siècle)
-ateliers et bureaux (négociants) aménagés dans des maisons et immeubles (habitat du centre ancien) (19e siècle)
-demeures construites par des établisseurs-horlogers intégrant un (ou plusieurs) atelier(s) d’horlogerie (quartier nord de la Boucle - rues de Lorraine, Alsace, Proudhon - et prolongation nord - quartiers des Chaprais) (1860-1910)
-manufactures et usines (rue Gambetta pour le centre ancien, pourtour de la Boucle du Doubs) (1880-1930)
-ateliers d’horlogerie (principalement quartiers des Chaprais et de la Mouillère) (1890-1930)
-"grandes usines" (boulevards Winston Churchill et Léon Blum) (1960-1990)

Le travail de la montre : une industrie diffuse dans le cadre urbain

Suite à la création de la Manufacture d’horlogerie de Besançon par le Suisse Laurent Mégevand en 1793, la ville s’affirme dans le courant du 19e siècle comme capitale française de l'horlogerie, ou du plus exactement de la montre. D'après l'Annuaire du Doubs pour l'année 1820, "800 individus des deux sexes" travaillent dans l'horlogerie. Il se fabrique à cette date 30 000 montres par an, dont "5000 à boîtes d'or, 15 à boîtes en argent et 10 000 à boîtes en cuivre doré ou en chrysocale [alliage de cuivre, zinc et étain imitant l'or]. Les ébauches proviennent de la fabrique Japy à Beaucourt. En 1875, "âge d’or" de l’horlogerie bisontine, le secteur un peu plus de 5 000 personnes, soit près du dixième de la population de la cité. Spécialisée sur le créneau de la montre ordinaire (le "bon courant"), la ville fabrique alors 420 000 montres, soit environ 90 % de la production française.
L’industrie horlogère s’implante d’abord dans la vieille ville (communément appelée la Boucle) et son prolongement du quartier Battant. La "Fabrique d’horlogerie de Besançon" s’organise autour du système productif de l’établissage : un établisseur, industriel horloger souvent aussi négociant, confie à divers fabricants ou artisans horlogers la production des pièces nécessaires à l’élaboration de la montre. Il s’agit très fréquemment d’un travail à domicile. L’établisseur assure (ou fait exécuter) ensuite le montage, le réglage et la vente de la montre, dans de petites unités regroupant entre 5 à 10 personnes.
Dans la première moitié du 19e siècle, l’activité horlogère se déploie dans un cadre urbain, au sein de l’habitat où une pièce est consacrée au travail. Il n’est pas encore question l’architecture industrielle, mais d’une architecture civile occupée par une industrie qui ne nécessite pas de moyens techniques ou énergétiques particuliers. La priorité est donnée à l’éclairage, que la pièce donne sur cour ou sur rue, et des aménagements sont parfois visibles (grands vitrages dans les combles, rehaussement d’étages largement ajourés). Disséminée dans la ville, la réalité de l’activité reste aujourd’hui difficile à appréhender, et ses traces peu aisées à localiser. A partir de la fin du 19e siècle, des documents publicitaires ou papiers à en-tête rendent compte de la "présence horlogère" dans les murs de la ville, même s’il est souvent délicat de distinguer l’affichage commercial de l’activité réelle de production. (Matile Frères 7 rue de la République, ou Victor Petiteau 1 rue du Lycée).
L’établissage règne en maître à Besançon jusqu’à l’apparition des premières manufactures vers 1880. La montre tend à se démocratiser et touche une nouvelle clientèle (fonctionnaires, commerçants aisés, professions libérales). On estime que quatre millions de montres sont en circulation vers 1870. A Besançon, la production passe de 160 000 montres en 1856 (boîtes en or et argent) à 400 000 montres (boîtes en or et argent) en 1875, et 635 000 montres (or, argent, acier et nickel) en 1900.
Selon l’Annuaire de la Fabrique d’horlogerie de Besançon publié en 1875, l’horlogerie occupe 5 150 personnes. Parmi elles, un tiers environ (1 625) travaille dans l’assemblage de la montre, en utilisant des ébauches et mouvements fabriqués dans le Pays de Montbéliard, le Haut-Doubs ou en Suisse. L’annuaire recense 191 « fabricants d’horlogerie », très majoritairement installés dans la Boucle. Près de 3450 personnes sont employées à la fabrication ou à l’ornementation des composants. Au nombre de ces derniers, on dénombre 600 monteurs de boîtes (répartis en 110 ateliers, chacun comptant donc en moyenne 5 personnes), 670 personnes œuvrant au décor (émailleurs, graveurs-guillocheurs, doreurs, etc.), 551 (principalement des femmes) au polissage, sans oublier les fabricants de pièces détachées (aiguilles, cadrans, ressorts, outils, etc.). Beaucoup d’entre eux travaillent seuls ou dans de petits ateliers, souvent à domicile. Moins d’une dizaine d’années plus tard, en 1883, la répartition - entre les sociétés cette fois-ci - est la suivante : 36 % sont occupées à l’établissage, 26 % au montage des boîtes, 15 % au gravage, 7 % au dorage, 6 % à la réalisation des cadrans…

Les formes de l’architecture horlogère dans la ville

Toute cette main-d’œuvre, parfois réunie en éphémères associations horlogères (sociétés de fait), reste très majoritairement installée dans la vieille ville ou dans le quartier de Battant. Petit à petit, une architecture liée à l’industrie horlogère se déploie au gré des aménagements urbains, dus notamment au percement de nouvelles rues (d’Alsace, de Lorraine, Proudhon ou Gambetta). En 1863-1864, l'architecte Marie Gustave Vieille fait construire pour la famille d’horlogers Savoye un immeuble au nord-est de la place Saint-Amour. Outre huit appartements donnant sur la place, il comprend deux magasins en rez-de-chaussée et huit ateliers d'horlogerie ouverts sur les façades postérieures et latérales.
En 1875, un dénommé Picard profite du départ de la distillerie Bugnot-Colladon, place du Transmarchement (actuellement De Lattre de Tassigny), pour aménager (ou construire ?) une petite fabrique de boîtes de montres.
Certaines sociétés prestigieuses (Savoye, Leroy), souvent originaires de Suisse, continuent à fabriquer la "montre particulière" (ou "complète"), produit haut de gamme et onéreux destiné à une riche clientèle. Parmi eux, citons la demeure construite vers 1894 pour le compte de la société C.A. Gondy Aîné, qui comprend des ateliers au rez-de-chaussée et les appartements dans les étages. Elle est située dans la rue Gambetta, percée au début des années 1880, et qui devient "la" rue de l’industrie de la Boucle.
Outre l’imprimerie Millot, située côté paire et qui publiera à partir de 1901 la célèbre revue La France Horlogère, la rue accueille entre 1880 et 1895 trois sociétés spécialisées dans la fabrication de boîtes de montres : la Société Générale des Monteurs de Boîtes d’Or au n° 21, la Société Générale des Monteurs de Boîtes d’Argent (puis SA d’Horlogerie de Besançon) au n° 23 et la SA pour la Fabrication de la Montre (puis Lévy Frères) au n° 25. Il s’agit là d’usines, ou manufactures d’horlogerie, dont la fabrication s’étage sur plusieurs niveaux, employant plusieurs dizaines d’ouvriers, éventuellement pourvues d’un moteur central (machine à vapeur puis moteur électrique). La plus importante d’entre elles, l’usine de la Société Générale des Monteurs de Boîtes d’Or, est équipée de machines-outils (laminage, découpage, emboutissage et fraisage du métal) actionnées par une machine à vapeur, et emploie 250 personnes vers 1900. Pour l’horloger Ernest Antoine, il s’agit de la "première apparition d’une fabrique de boîtes outillée comme en Amérique […]".
Par la mécanisation et la production en série de pièces rigoureusement identiques permettant l’interchangeabilité des composants, ce type d’établissement s’oppose au système de l’établissage. Il tente de répondre à la crise que connaît le monde de l’horlogerie depuis les années 1880. Provocant la désorganisation de l’établissage, le chômage de centaines d’ouvriers et la disparition de dizaines de sociétés, cette crise est due à une double concurrence. En 1867, apparaît en Suisse la montre Roskopf, une montre "simplifiée", mais solide et bon marché. Présentée à l’exposition Universelle de Paris en 1867, elle rencontre un succès immédiat. A la même époque, la société américaine Waltham Watch and C° met au point, à l’aide de batteries de machines-outils alimentées par de puissants moteurs, la fabrication mécanique complète, et en série, de montres fiables et précises, à des prix très compétitifs.
Au final, peu d’entreprises bisontines font le pari des manufactures horlogères. Citons la société Geismar, installée vers 1880 au moulin de Tarragnoz, qui se targue de fabriquer ses boîtes et ses mouvements "par procédés mécaniques". Avec la SA d’Horlogerie de Besançon située rue Gambetta, il s’agit de la seule société produisant des ébauches de montres. Au tout début du 20e siècle, la fabrique d’horlogerie Lipmann tente la "voie manufacturière". Fondé en 1867 par Emmanuel Lipmann, l’atelier d’horlogerie était implanté au centre-ville. Une nouvelle société est créée début 1901 par ses fils, Ernest et Camille, prélude à la construction d’une "manufacture d’horlogerie par procédés mécaniques" dans le quartier de la Mouillère.

Quand l’horlogerie sort de la ville ancienne

Les implantations industrielles hors du centre ancien sont rendues possibles depuis la fin du 19e siècle par la levée des servitudes militaires, qui rendaient inconstructibles les terrains situés sur la rive droite du Doubs, au nord de la ville. Dès le milieu des années 1890, la société Guenot-Tribaudeau, fondée en 1876 au n° 4 rue d’Alsace, fait bâtir rue des Fontenottes, à côté de la gare de la Mouillère, une usine jouxtant une maison patronale.
Au début du 20e siècle, c’est le quartier des Chaprais qui est plébiscité par les industriels en général et les horlogers en particulier, autour de l’avenue Carnot et des rues de la Mouillère, Denfert-Rochereau et des Villas. Dans celle-ci s’implantent les sociétés Clerc, Rentchler et Cie, Georges Meyer (Utinam), Simonin et Richert-Laval. Lancée en 1907, cette dernière est spécialisée dans la fabrication de montres en nacre pour dames (marque Perla). Après avoir longtemps produit des boîtiers pour hommes, la Fabrique bisontine s’oriente à cette époque vers la montre pour femmes, plus petite, décorée d’émaux et de pierres précieuses (montre-bijou, montre en sautoir, en broche, à la boutonnière, etc.). En 1908, on dénombre 25 ateliers de décorations employant 200 personnes (émailleurs, graveurs-guillocheurs, peintres sur émail, sertisseurs, etc.). La société de décor de boîtes de montres Bornet, présente au n° 25 rue Gambetta entre 1905 et 1910, s’équipe même de tours automatiques à graver. D’autres, comme Tribaudeau, publient un catalogue présentant de la bijouterie et de l’orfèvrerie.
Si l’établissage reste la règle, l’organisation du travail continue de privilégier les petites structures. En 1908, la ville ne compte que 5 sociétés de plus de 200 ouvriers, et 20 employant 20 personnes.
L’après Première Guerre mondiale connaît une embellie avec l’implantation de sociétés suisses (Universo, Zénith, Boss) et françaises (Pétolat, Hatot, Spiraux Français, Chauvelot-Mayer, Léon Gentil), matérialisée par la construction d’ateliers et d’usines sur la rive droite du Doubs. La crise économique de 1929 porte un coup sévère à l’horlogerie bisontine, qui voit disparaître une quarantaine d’entreprises du secteur en quelques années. Cette situation est aggravée par les changements de mode : déclin de la boîte en argent entraînant la disparition des "ouvriers décorateurs" et essor de la montre-bracelet. De petite taille, incapables de mobiliser des capitaux pour se moderniser et manquant de compétitivité par rapport aux sociétés suisses, les entreprises bisontines ont beaucoup de mal à subsister. Avec ses 250 employés et sa production normalisée et rationnalisée, la société Lip résiste à la tourmente, et élargit même son offre (fabrication de petits moteurs électriques pour l’industrie radioélectrique). Autre cas particulier, celui de la société Sarda, fondée en 1893 dans un immeuble du quai Veil-Picard, qui fait construire en 1930-1932 une usine d’horlogerie avenue Carnot (Chaprais).
Une reprise s’amorce au milieu de la décennie 1930. En 1936, la SARL Frankowski et Seguin fait appel à l’architecte André Boucton (avenue Carnot), alors que Raymond Dodane originaire de Morteau, choisit les architectes et frères Perret pour construire son usine de montres dans le quartier de Montrapon. Citons encore l’exemple plus modeste de d’atelier de mécanique et d’estampage, construit en 1935-1936 rue du Polygone pour le compte de l’industriel Gustave Grenard, d’après les plans de l’architecte Léon Tock.
Pendant ou à l’issue de la Seconde Guerre mondiale, des usines et ateliers d’horlogerie sortent de terre, dédiés soit à la fabrication de montres (Perfex, rue de la Rotonde, Yema rue Paul Bert), soit à celle de composants : Métal Decor fabrique des cadrans métalliques, Tena-Butty des verres et ressorts de montres.
Alors que l’usage du béton armé avait été retenu pour les usines Frankowski et Seguin en 1936, et Raymond Dodane en 1939, il se systématise après le second conflit mondial, mis en œuvre par la Société Moderne pour les Commerces et les Immeubles (Tena-Butty) ou par les architectes E. Dambenon (Perfex), Albert Rouch (Métal Decor), et Alfred Ferraz et Lucien Seignol (Sidhor). Edifié en 1947-1948 en bordure sud de l’usine Lip, l’immeuble industriel de la Société d’Investissement pour le Développement de l’Horlogerie (ou Sidhor) est unique dans le "paysage horloger" bisontin. Imaginé par une association de fabricants horlogers de Besançon (Lip et sa filiale le Pignon Français) et du Haut-Doubs (Clérian, Cheval Frères, Augé et Epiard), il réunit sous le même toit divers fabricants de pièces pour d’horlogerie, mais où chaque société développe sa propre activité.
Après avoir quitté le centre ancien pour la rive droite du Doubs au tournant des 19e et 20e siècles, l’activité horlogère s’éloigne encore plus de son épicentre dans le 3e quart du 20e siècle, et gagne une zone récemment urbanisée, autour des nouveaux boulevards (Winston Churchill et Léon Blum).
Les années 1960 sont caractérisées par la course folle à la productivité, représentées notamment par les sociétés Yema et Lip. Inaugurée en septembre 1961, l’usine que fait construire Yema au n° 67 rue des Cras doit être capable de produire 300 000 montres par an. Le pic de production est atteint en 1978 avec 1,3 million de montres. De même, l’usine de Palente bâtie par Lip en 1960-1962 possède 25 000 m2 de surface couverte, et emploie 1 600 personnes, dont 1 200 pour les productions horlogères (2 600 montres produites quotidiennement). Cette euphorie ne résiste pas à la concurrence sud-asiatique et l’arrivée de la montre à quartz. L’horlogerie bisontine disparaît presque complètement au tournant du 21e siècle, mais se prolonge via l’industrie micro-mécanique dans de nouvelles zones (Parc Lafayette, Themis) aménagées à la périphérie de la ville.

Hors l'horlogerie...

Une trentaine de sites, traitant de secteurs très diversifiés, ont été identifiés. L’industrie de la transformation métallurgique se développe au début du 20e siècle avec des ateliers de découpage, d’estampage ou d’emboutissage, souvent liés à l’horlogerie ou la mécanique de précision. La construction mécanique, fortement liée au travail du métal, se développe dès le milieu du 19e siècle sur le site de Casamène, occupé par la Société des Hauts Fourneaux, Fonderies et Forges de Franche-Comté (construction de machines) ou dans quartier des Chaprais, avec l’implantation des constructeurs automobiles Schneider et Ravel au début du 20e siècle. Le secteur de la bagagerie est représenté par les sociétés Gerst, Maveg et Superior. L’industrie de l’habillement est présente avec les usines de chaussures (Gaiffe) et de confection (Weil), alors que la branche textile s’illustre avec le tissage de Casamène et la filature de soie artificielle des Prés de Vaux (devenue Rhodiaceta), adossée à la papeterie Weibel. Parmi les fabrications alimentaires, notons les biscuiteries Jacquemin, Unimel, la distillerie Faivre-Chalon et l’établissement de la Société Comtoise Gazeuse.

L'inventaire du patrimoine industriel de Besançon

Commencé en milieu d’année 2017, l’inventaire du patrimoine industriel de la ville s’est achevé fin 2018. A une exception près, l’aire d’étude retenue s’arrête aux boulevards Winston Churchill et Léon Blum, dont les franges ouest et nord ont été urbanisées à partir des années 1960. Sur la centaine de sites étudiés, près de 70 sont liés aux industries horlogères ou micromécaniques, une dizaine concernent des sites métallurgiques (transformation des métaux), le reste étant consacré à des industries diverses (agro-alimentaire, textile, confection, etc.)

Source(s) documentaire(s)

  • 2 F 8 Commerce local et commerce extérieur (1820-1954)
    Archives communales, Besançon : 2 F 8 Commerce local et commerce extérieur (1820-1954)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 2 F 8
  • 2 F 9 Horlogerie (an II-1882)
    Archives départementales du Doubs, Besançon, 2 F 9 Horlogerie (an II-1882)
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 2 F 9
  • 2 F 11 Commerce et industrie (1802-1939)
    Archives communales, Besançon, 2 F 11 Commerce et industrie (1802-1939)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 2 F 11
  • 2 F 13 Exposition Universelle, Paris 1900.
    2 F 13 Exposition Universelle, Paris 1900. Archives communales, Besançon
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 2 F 13
  • 2 F 20 Artisans, commerçants et entreprises de Besançon (1861-1953)
    Archives communales, Besançon, 2 F 20 Artisans, commerçants et entreprises de Besançon (1861-1953)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 2 F 20
  • 5 F 3 Liste des personnes patentées de l'industrie horlogère (1893)
    Archives communales, Besançon, 5 F 3. Liste des personnes patentées de l'industrie horlogère (1893)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 5 F 3
  • 7 F3 Mouvements de grève et conflits du travail (1884-1953)
    Archives communales, Besançon, 7 F3 Mouvements de grève et conflits du travail (1884-1953)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 7 F3
  • 3 J 59 Registre de déclarations des faillites (1858-1934)
    Archives communales, Besançon : 33 J 59 Registre de déclarations des faillites (1858-1934)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 3 J 59
  • 5 J 15 Etablissements incommodes, dangereux et insalubres (1817-1878)
    Archives communales, Besançon : 5 J 15 Etablissements incommodes, dangereux et insalubres (1817-1878)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 5 J 15
  • 5 J 16 Etablissements incommodes, dangereux et insalubres (1822-1902)
    Archives communales, Besançon, 5 J 16 Etablissements incommodes, dangereux et insalubres (1822-1902)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 5 J 16
  • 5 J 25 Etablissements classés et insalubres (1887-1954)
    Archives communales, Besançon, 5 J 25 Etablissements classés et insalubres (1887-1954)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 5 J 25
  • 50 J Syndicat des fabricants d’horlogerie de Besançon, 1789-1984
    50 J Syndicat des fabricants d’horlogerie de Besançon, 1789-1984
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 50 J
  • M 2441 Industrie horlogère (1845-1874)
    M 2441 Industrie horlogère (1845-1874)
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : M 2441
  • 432 S 2 Appareils à vapeur. Déclarations (1826-1857)
    Archives départementales du Doubs, Besançon : 432 S 2 Appareils à vapeur. Déclarations (1826-1857)
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 432 S 2
  • 432 S 3 Appareils à vapeur. Déclarations (1858-1863)
    Archives départementales du Doubs, Besançon : 432 S 3 Appareils à vapeur. Déclarations (1858-1863)
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 432 S 3
  • 432 S 6 Appareils à vapeur. Déclarations (1846)
    Archives départementales du Doubs, Besançon, 432 S 6 Appareils à vapeur. Déclarations (1846)
    Lieu de conservation : Archives départementales du Doubs, Besançon - Cote du document : 432 S 6
  • 1 T 1-56 Permis de construire (1910-1952)
    1 T 1-56 Permis de construire (1910-1952). Archives communales, Besançon.
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 1 T 1-56
  • 659 W 8 Les sociétés industrielles à Besançon (décembre 1975)
    Archives communales, Besançon, 659 W 8 Les sociétés industrielles à Besançon (décembre 1975)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 659 W 8
  • 5 Z 20 Fonds Lip. Documentation générale (1950-1969)
    Archives communales, Besançon, 5 Z 20 Fonds Lip. Documentation générale (1950-1969)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 5 Z 20
  • 28 Z Fonds Jacquemin Frères (20e siècle)
    Archives communales, Besançon, 28 Z Fonds Jacquemin Frères (20e siècle)
    Lieu de conservation : Archives communales, Besançon - Cote du document : 28 Z
  • Annuaire Paris-Bijoux
    Annuaire Paris-Bijoux, publiant dans un seul volume toutes les adresses de Paris et de la province (Suisse en partie). - Paris : Paris Bijoux.
  • Annuaire du Doubs, 1820.
    Annuaire statistique et historique du département du Doubs pour l'année bissextile 1820. - Besançon : Impr. Veuve Daclin, 1821.
  • Baverel, Jean-Marie. L'usine Dodane par Auguste Perret (1939-1943), 1980
    Baverel, Jean-Marie. L'usine Dodane par Auguste Perret (1939-1943). - Besançon : Faculté des Lettres, 1980. 106 f. dactyl., 115 f. de pl. ; 30 cm. Mém. de maîtrise : Histoire de l'Art : Besançon : 1980 ; 76
  • Benoît, Maurice ; Gauthier, Jean [et al.]. La vie économique de Franche-Comté et du Territoire de Belfort, 1958.
    Benoît, Maurice ; Gauthier, Jean [et al.]. La vie économique de Franche-Comté et du Territoire de Belfort. - Besançon : Impr. de l'Est, 1958.
  • Chevalier, Michel. Tableau industriel de la Franche-Comté (1960-1961), 1961
    Chevalier, Michel. Tableau industriel de la Franche-Comté (1960-1961). - Paris : les Belles lettres, 1961. 101 p. : cartes ; 24 cm. (Annales littéraires de l’Université de Besançon. Cahiers de géographie de Besançon ; 9)
  • Daclin, Pierre. La crise des années 30 à Besançon, 1968
    Daclin, Pierre. La crise des années 30 à Besançon. - Paris : les Belles lettres, 1968. 136 p. - [10] f. dépl. : graph., tabl. ; 24 cm. (Annales littéraires de l'Université de Franche-Comté ; 96. Cahiers d'Etudes comtoises ; 13).
  • Le département du Doubs, 1923
    Le département du Doubs. - [S.l.] : [s.n.], 1923 : ill. N° spécial de « L’Illustration économique et financière », supplément du 4 août 1923
  • Douëzy d'Ollandon, Marc ; Dornier, Raymond. Les automobiles de Besançon (1900-1930), 1993
    Douëzy d'Ollandon, Marc ; Dornier, Raymond. Les automobiles de Besançon (1900-1930). - Besançon : Néo-Editions, 1993. 159 p. : ill. ; 29 cm.
  • Mayaud, Jean-Luc. Besançon horloger : 1793-1914, 1994
    Mayaud, Jean-Luc. Besançon horloger : 1793-1914. - Besançon : Musée du temps, 1994. 124 p. : ill. ; 21 cm.
  • Lément, Marie-Josée. L'usine d'horlogerie Dodane à Besançon : un remarquable jalon de l'histoire de l'architecture, juin 1981
    Lément, Marie-Josée. L'usine d'horlogerie Dodane à Besançon : un remarquable jalon de l'histoire de l'architecture. Réalités franc-comtoises, 24e année, n° 236, juin 1981, p. 197-200 : ill.
  • L'Opinion économique et financière : Franche-Comté, 1949.
    L'Opinion économique et financière : Franche-Comté, juillet 1949, n° 2.
  • Lip : 110 ans d'histoire : condensé historique, s.d. [1977].
    Lip : 110 ans d'histoire : condensé historique. [Besançon] : [Association des amis de Lip], s.d. [1977].
  • Panorama de l'industrie horlogère mondiale, 1954.
    Panorama de l'industrie horlogère mondiale. Besançon : société Lip, 1954, n.p.
  • Poivey Bernard. Etude de la moyenne horlogerie bisontine, 1969.
    Poivey Bernard. Etude de la moyenne horlogerie bisontine. - Université de Besançon, mémoire de maîtrise, 1969, 179 p.
  • Regards sur le Doubs, 1971
    Regards sur le Doubs. - Paris : Service de Presse, Edition, Information, 1971. 331 p. : ill. ; 27 cm. N° spécial de la revue Regards sur la France ("revue périodique publiant l'inventaire permanent des richesses et des virtualités françaises"), 15e année, 1971

Informations complémentaires

Thématiques :
  • patrimoine industriel du Doubs
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